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Maël Packers ♠"Ce qu'il y a d'ennuyeux dans l'amour, c'est que c'est un crime où l'on ne peut pas se passer d'un complice."♠

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One upon a time.

Maël Packers est né le 7 janvier 1987 en Angleterre, où il y vécut chez ses parents jusqu’à l’âge de ses 19 ans, lorsqu’il parti faire ses études à Memphis. Il a une petite sœur qui a 4 ans de moins que lui, et qui ne va pas tarder à le rejoindre. Il l’aime énormément, et la surprotège de tout. Elle est sa plus grande confidente, et sont vraiment très liées. Ils passent du temps ensemble, se racontent tout, ont des délires propre a eux même, et aiment critiquer les gens dans la rue. Ils sont vraiment des commères tout les deux, et il faut dire que sa sœur lui manque maintenant qu’ils sont a des kilomètre l’un de l’autre. Elle ne sait pas ce qui s’est passé avec Woody, et ne le saura que lorsqu’elle sera en ville avec lui. Ou pas. Il travail dans la société où travaille Woody, mais depuis un certain temps, depuis leur « break » enfaite, il ne l’a pas vu, préférant l’éviter le plus possible, même si au fond il veut revenir avec elle. Comme on dit, « On ne peut empêcher notre cœur d’aimer ce que notre âme voudrait détester. » Cher journal, Je me mets maintenant à l’écriture. Il faut que je vide ma tête, elle est pleine a craquer, et je sais qu’un jour, si j’explose avec tout ça en tête, ça risque de faire mal. Je ne peux pas garder ça en moi comme ça. C’est impossible. Tout avait bien commencé entre nous. Une rencontre inattendu autour d’un ordinateur casser, un baiser échanger, puis deux, et ce fus le plus parfait des amours. Enfin de mon coter en tout cas. Je pensais vraiment qu’elle m’aimait comme elle me le faisait comprendre par ces gestes, son attitude avec moi. Je ne voulais qu’elle, ne voie qu’elle. Lorsqu’elle était avec moi, c’était comme ci je pouvais tout lui offrir, tout lui céder. Elle m’apporter beaucoup. Alors pourquoi du jour au lendemain tout bascule comme ça ?? Qu’est-ce que j’ai fait pour méritait ça. * « ressaisis-toi Maël ! » Il secoua la tête. Il n’allait tout de même pas s’apitoyer sur son sort tout de même. Ça serait le comble. Mais au fond il le savait. La souffrance le rongeait. Il reprit sur son journal, rayant ça dernière phrase.* Lorsque j’ai appris qu’elle voyait quelqu’un d’autre, je ne voulais pas y croire. Ce n’était simplement pas possible. Pour moi, notre histoire, c’était du solide. Je pensais vraiment que c’était toujours l’homme qui faisait des bourdes et qui détruisait le couple. Mais je me trompais. Je m’évertuer toujours a bien faire. Mais lorsqu’elle me le dit de vive voix, et qu’en plus que c’était son colocataire, Maxence, mon cœur eut un raté. Mon corps tout entier s’était figé. J’avais coupé ma respiration, pensant vraiment que cela était une mauvaise blague. Mais quand je vis sa larme rouler sur sa joue, je compris instantanément. Elle était sérieuse, très sérieuse en plus. Je ne pouvais pas le concevoir. Je m’étais levé, énervé comme jamais. Comment avait-elle pu me faire ça ? Ne voulait-elle que ma souffrance ? J’étais alors sorti de sa chambre, et avançait dans le couloir, -je m’en rappel comme ci c’était hier que tout avait basculé-, j’étais tombé sur Maxence. Et c’est à ce moment là que je vis rouge. Mon poing s’écrasa sur son nez, sans vraiment comprendre comment j’avais pu le frapper a cette vitesse. Puis, sans demander mon reste je suis sorti de l’appartement. C’est vraiment idiot de croire en l’amour. Elle ne fait que de nous faire souffrir, de nous faire perdre des êtres chers a nos yeux et a nos cœurs. Crois moi journal, je ne suis pas prés de retomber amoureux. Il lâcha son stylo plume, et balança son journal contre un mur. Ça faisait maintenant une semaine, et il ne s’en était toujours pas remit. Peut-être qu’il ne le pourrait jamais. Il n’était pas sorti de chez lui depuis un bon moment maintenant. Enfin, a part pour aller travailler, mais sinon il restait cloitrer chez lui, a regarder la télé, et a jouer sur son superbe Mac Pro Air blanc a W.O.W. Et oui, il n’était pas informaticien pour rien. Il était geek depuis tout jeune, et aimait ça. Ça lui faisait passer le temps et surtout penser a autre chose. Alors pourquoi s’en privait ?