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 |  Sujet: Savannah E. Spencer  Mar 26 Avr - 5:46 | |
| Savannah Everleigh Spencer
« All's fair in love and war »ME MYSELF AND I. Savannah Everleigh a 23 ans et travaille dans le mannequinat comme loisir car elle est richissime. De nationalité Anglaise. Elle est née à Cambridge , le 31 Août 1987. Lady Savy - c'est son p'tit nom - et elle est hétérosexuelle. |
IN LOVE WITH YOU
♦ COMMENT VOUS DÉFINIRIEZ VOUS ? La curiosité est un vilain défaut ! Et je sais de quoi je parle... Je suis une petite princesse de 23 ans choyée par ses parents depuis la fécondation. J'ai du partager cette amour avec ma soeur et j'avoue avoir eu beaucoup de mal - surtout quand vous voyez l'héritage que les parents vont nous laisser ! Je suis capricieuse et maligne, intransigeante et colérique. Ouai, on m'a toujours dit que j'n'étais pas Anglaise pour rien ! L'suis aussi lunatique que mon père et insouciante que ma mère. J'ai jamais eu la tête sur les épaules mais dans le compte en banque de papa, ou dans le dressing de maman, ou dans les dîners royaux Londoniens... J'ai donc un caractère de " pig " et je l'assume, ose venir me faire chier, tu vas vite déjanter... Je suis une fille AUTHENTIQUE - BELLE - et AMBITIEUSE. Que ça plaise ou non...
Physiquement, je suis miss London depuis mon plus jeune âge, et à New York et Memphis où je viens d'arriver j'en fait tourner des têtes. Blonde sensuelle, tout l'océan dans mes yeux, une taille de guêpe, un style irréprochable. Bataille pas, tu peux pas test...
♦ EN COUPLE OU CÉLIBATAIRE ? Comment te dire.. Crois-tu vraiment que j'ai que ça à faire de ma vie ? J'ai étudié dans l'université la plus réputée de tout l'Angleterre - Même aux Etats-Unis, je suis occupée et préoccupée... Donc l'Amour, c'est secondaire. Je veux le même mari que ma mère. Friqué - Pas Chiant. J'ai jamais été amoureuse d'un coeur, mais amoureuse d'un corps. Bon, intérieurement, j'aimerais bien aimer un jour, puis je pense que ça m'ait déjà presque arrivé, mais alors une fois. Deux fois. M*rde ! Ce qui est sûr, c'est que je pourrais pas assumer une relation maintenant. J'ai pris quelques années sabbatiques ici en Amérique, mais après, j'ai mon manoir, mon comté, mes hectares personnels de terrain qui m'attendent en Angleterre. Je n'vois pas ma vie autrement. Mon père a déjà trouvé des prétendants pour moi, et j'dois avouer que je n'suis pas tout à fait fermé. L'amour est mort de toute façon, c'est que des contes de fée, j'y crois de loin et c'est bien mieux ainsi. Ma vie est tracée, alors une amourette va pas modifier mes plans de dynastie familiale. En attendant, je n'vais pas dire que je n'me fait pas de bien. Non. Je profite, même très bien. Le monde du mannequinat est une excellente source de chaud lapin, et j'aime bien sautiller... Oh, décoincez-vous, la vie est belle !
♦ LES HEART MAKER, CELA TE DIT QUELQUE CHOSE? Excusez-moi. Mais que l'on soit d'accord mademoiselle la Reporter. Heart Maker, ça veut dire : Créateur de Coeur. D'amour donc. Et crois-tu que quelqu'un peu avoir la prétention de faire naître l'amour chez les gens ? Non ! Y'a que les p*tes ... Ouai, j'en ai entendu vaguement parler. En fait, j'écoutais les gens à la table à côté de moi, ils avaient qu'à parler moins fort. C'était comique, car même eux avait chacun une définition différente de ces gens-là. Et quand ils m'ont demandé mon avis, voyant que j'espionnais un peu trop, j'ai rien trouvé d'autre à dire que : " C'est quoi la marque de tes Lunettes ? " J'avais parié sur des Ray-Ban. Et j'avais eu raison, comme d'habitude...
♦ JUSQU'OÙ EST TU PRÊTS A ALLER PAR AMOUR ? COMMENT VOIS-TU TON MARIAGE ? TU VEUX COMBIEN D'ENFANTS ? Je n'savais pas qu'il fallait que j'écrive une dissertation. Alors alors. C'est difficile à répondre parce que je n'suis jamais vraiment et entièrement tombée amoureuse d'un homme. Alors j'ai pas les bases que toutes les filles doivent avoir sur lesquelles me fonder. Mais bon, pas grand chose je pense. J'veux dire, j'pense être plus apte à faire le marathon de Londres pour un repas avec Lady Diana, mon idole et une " ancienne " amie de la famille que de le faire pour retrouver mon amoureux qui m'attend désespérément sur la ligne d'arrivée. Ouai non. Mais comme j'vous l'ai dit, je suis fermée de ce côté-là. Pour une partie de jambes en l'air, ou sport de chambre, à vous d'voir, là par contre je peux me réveiller en sursaut à 3 h du mat et d'aller retrouver mon plan c*l à l'autre bout de la ville. La volonté. On appelle ça la Volonté !
Mon mariage. Hum, alors mon rêve c'est bien sur l'Abbaye de Westminster. Et le même Prince. Mais bon, il est pris, et son frère est ... hors critère pour moi. Donc lorsque THE prétendant sera choisis, mon mariage sera grandiose. Juste grandiose ... De l'Or sur chaque Table.
Les enfants... Deux. Un de chaque sexe, et tout le monde sera content !
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MAYBE ONE DAY ... Lady Savannah Everleigh Spencer's Story
80 Km de Londres. Cambridge. La nouvelle futur duchesse du Cambridge et de York est née de l'union de Miss Katherine Spencer, Duchesse de York et Lord Tony Spencer, Duc de Cambridge. Miss Savannah Everleigh Spencer.
A chaque fois que j'me lève le matin, je vois cette lettre encadrée dans l'immense cuisine du Manoir. Faire part envoyé à la famille Royale, aux Vicomtes, Comtes, Ducs et passons. Petite, j'étais une jeune fille modèle durant son enfance vraiment très distinguée, très polie. Cette éducation est ancrée en moi encore aujourd'hui. C'est-à-dire que je mange mes repas avec 7 couverts, que la petite serviette est là, que tous les Dimanche je me lève et va à l'Eglise, bien qu'à Londres j'avait ma propre chapelle. Je suis née en 1987, j'étais alors la fille unique de cette famille dont chacun des membres étaient très haut placé, et l'est encore aujourd'hui. Ma tante était une amie proche de Sa Majesté, et il n'était pas rare que je me retrouve très souvent à déjeuner avec le futur Roi d'Angleterre et son frère. Je l'avoue, j'ai toujours tout eu sur un plateau dorée, que ce soit de la part de mes parents que des domestiques à qui je faisais vivre la vie dure. Dès petite j'avait cette bipolarité incroyable. Un Ange en sortie officielle, un Démon dès la porte du Manoir de Cambridge passé. J'en jouais bien évidemment, car mes parents avaient bien trop peur que je fasse des scandales dehors. Tout m'était donc accordé. J'ai grandi dans un environnement très sain : des écoles privées, des lycées privés, ne côtoyant que les gens de ma classe sociale. J'étais d'ailleurs méchante - sans même savoir pourquoi - avec les autres. Ceux qui venaient d'en bas. Bien sur, tout cela évolua très vite, mais là nous en somme qu'au lycée. J'étais une vraie peste et d'en reparler maintenant ça me fait rire. Mais je pense que j'était trop conditionnée dans un système précis, embourgeoisé. Je n'dis pas que j'ai changé, mais au moins, je m'en rend compte et c'est déjà un bel effort. J'avais d'excellent résultat, si bien que mon père m'envoya dans la plus réputée des Université du pays : Oxford. J'ai suivit l'histoire de l'Art car j'adorais la peinture et la littérature, encore maintenant d'ailleurs, mais je n'ai plus trop le temps.. Je peux vous dire que les premiers jours n'ont pas été simples. Moi, jeune adolescente de 18 ans, CAT en poche, n'ayant fait que des écoles privées, depuis le berceau. Mais après quelques semaines, j'ai réussis parfaitement à m'intégrer, on était plusieurs dans ce cas à vrai dire. Et on a mélanger les classes, on a appris des autres, et appris aux autres. Un partage mutuel de connaissance et de savoir vivre. C'est là que j'ai appris à boire de la bière, à manger du poisson sans caviar, à utiliser un réveil. J'ai développé des qualités relationnelles jusqu'alors inconnue. 3 ans après, mon diplôme se passe à merveille, j'ai eu droit à une relation d'un ans passionnel avec un homme, mais toute bonne chose à une fin, et on était pas amoureux. C'était juste histoire de. Il était beau, j'étais belle, il était plus pauvre que moi. C'était ma première expérimentation avec quelqu'un d'une autre classe et j'ai vraiment aimé, même si certain ne comprenait pas tellement. C'était plus de la curiosité au début. Puis un rythme qu'on avait pris. On couchait ensemble le Lundi, mais pas le Mardi car Mercredi matin il fallait être prêt pour les partiels de semaine. On n'a eut aucun mal à se séparer à vrai dire. Et dès qu'on se revoit, rebelote. Mais là, y'a plus les exam' du mercredi...
Là, j'avais 21 ans. Un corps de rêve, mon diplôme d'agent de communication artistique en poche, j'ai décidé de partir ! Les Etats-Unis m'avaient toujours attiré et ma copine était avec moi et m'a fortement poussé à quitter mes habitudes et mes rituels, à quitter ma sécurité, tout simplement.. Mes parents m'en ont voulu, mais ils m'aiment tellement que les mandats arrivaient tous les jours très vite. New York, c'était impressionnant ! J'ai commencé des cours de théâtre à Broadway parce que j'en avait toujours fait, et ma copine elle travaillait dans une chaîne de restaurant rapide. La pauvre... On vivait à deux, mais je payait seule le loyer, vu la grandeur de l'appartement que j'avais trouvé - enfin que le majordome de mon père avait trouvé. Je profite toujours des réseaux des autres, c'est ainsi ! Un soir, j'ai été remarqué par un homme, en jouant Shakespeare... Il m'a proposé un rendez-vous, et m'a promit que si j'osait il ferait de moi la plus grande égérie de New York. Et de toutes les marques, sous contrats interposés. Olaaa il parlait quel langue ce type. N’empêche, il a fait ce qu'il a dit, et chez moi, rien ne vaut plus qu'un acte. Les paroles c'est de la farine en poudre. D'ailleurs, ça tourne pas mal ici, mais c'est la Loi d'la Jungle. Je n'en ai jamais pris, je suis une femme qui restera toujours classe, avec des valeurs. Et très hautaine. Du coup, malgré ma sociabilité cachée, je ne suis pas souvent abordée. Sauf par les mecs vraiment intéressés. D'ailleurs, un soir dans une soirée huppée dans l'Upper East Side, j'ai rencontré un homme, cet homme qui deviendra par la suite et mon ami, et mon amant. Un homme d'une beauté si prenante que même moi j'en fut restée bouche bée,et croyez moi, il m'en faut beaucoup. Il parlait finance, Nasdaq et autre indice boursier de Wall Street. Je ne captait rien, moi qui n'a aucune valeur de l'argent, qui n'a jamais vraiment touché un billet de ma vie, mis à part depuis les trois mois où j'étais là ... On a discuté ensemble et on a tout de suite vachement accroché. C'était simple, il disait un mot, je finissais le reste. On était sur la même longueur d'onde, c'était incroyable, et il me faisait rire. Moi qui aime rire, il était toujours prêt à me faire sourire... Cette histoire a bien sur finit au lit. Il était encore étudiant, sa dernière année, et j'ai pu m'inscrire dans la fac où il était, public bien sûr.. Je voulais juste prendre des cours d'un module particulier, qui venait de germer dans ma tête. Cours de management. Ou comment gérer son entreprise. J'ai réussit le module et ce fut rajouter dans mon bagage un an après. Une année entière où avec cette homme, du beau nom de Damien, je m'envoyais en l'air partout et n'importe quand. Dans les salles de classes vides, dans les ascenseurs, dans le parking, dans le parc, chez moi, chez lui. On avait ce petit quelque chose qui nous attirait mutuellement, cette beauté qui nous définissait mieux que quiconque. Cette façon de penser non différente au final. Même si on venait de milieu complètement contraire. Mais ce qui nous rapprochait le plus était paradoxalement notre caractère de merd*. J'étais un vrai mec pour ça, je rentrais dans le tas sans chercher à comprendre, et lui aussi, alors imaginez les plateaux télé ou les sorties en boites le weekend. Sa donnait ! Mais on était malgré tout très attachés l'un à l'autre. Malgré le fait qu'il allait voir ailleurs et que moi aussi. Pourquoi ? Parce qu'une journée est constitué de 24h et qu'il faut bien profiter. En tout cas, Damien, c'est un Ami pour moi, il compte tellement. Je n'sais pas comment vous expliquer. Sa fait deux ans maintenant qu'on se côtoie fréquemment, même si on est plus " ensemble " comme on l'était à la fac. Mais on a tellement parlé, tellement bataillé, tellement rigolé, qu'on est devenu en plus de cette intimité sexuelle, intimes dans les rapports de tous les jours. Quand il est là, j'ai ce besoin de le toucher, de poser ma main sur la sienne, ou de jouer du regard avec lui, de le provoquer encore et sans cesse, comme si tout ça rythmait notre échange. J'en suis triste, ça me manque ! Oui, parce que ça fait trois mois que j'ai pas de nouvelle de lui. J'aime pas ça. Absolument pas. Je suis parti un mois dans mon chez moi, l'Angleterre, le fief de ma vie, entre deux contrats, il le savait. J'aime rentrer chez moi, j'en suis si attachée, pour moi c'est que passager ici, mon père prépare déjà les auditions des futurs probables mariés... Mais à mon retour. Monsieur n'était pas là. Son appart avait été vendu. Aucune idée. On s'était embrouillé avant que je parte, mais quand même ... J'ai vraiment mal pris son attitude ingrate et nulle, surtout que j'avais des contacts à Memphis, des gens qui me proposaient des contrats intéressants, et qu'on devait peut-être y aller ensemble. Trois mois après, je me décide enfin à partir là-bas. Pourquoi ? Parce que j'ai dit que j'y allais, alors j'y vais ! Dans un mois j'retourne à Londres dans mon appartement de luxe voir mes amies, après je repart à Cambridge dans le manoir familial, il me reste donc un peu de temps devant moi.. J'espère retrouver mon Damien, mon Ami, et lui foutre une magnifique Gifle avant de lécher son torse. Oui, on est comme ça nous deux. Sa vous dérange ?
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BOYS OR GIRLS ? | ♦ PSEUDO/PRÉNOM: Nora
♦ AGE: 20 ans
♦ PAYS: Francia
♦ FRÉQUENCE DE CONNEXION: bonne.
♦ STAR SUR L'AVATAR: Teresa Palmer
♦ GROUPE CHOISI : Riddin' Solo
♦ COMMENTAIRE:Enchantée. Moi c'est Nora. Ah, tu l'savais déjà ... xD |
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Dernière édition par Savannah E. Spencer le Dim 8 Mai - 11:39, édité 10 fois |
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