MAYBE ONE DAY ...
7h le réveil sonne, mes yeux était depuis un petit temps ouvert sur mon plafond au ton blanc crème, classique et banal, quelques rayons friche passe au travers des rideaux de bois, le jour éclos lentement sur une journée grandiose, comment j'en suis arrivée là, l'histoire classique dirait vous, pas pour moi, on imagine souvent des tas de scénarios, des tas de meufs et pouf la bonne, ou des tas de meufs et jamais la bonne. Lui il suivez son chemin regardant ou il mettais son pieds devant lui, pas plus loin, enfin pas souvent. Mais il y avait cet fille avec se regard a vont faire tomber a la renverse, a vous liquéfier le cœur si en plus elle viens a vont sourire, vous êtes un mec, ces idiot et pourtant, l'être humain a bien des failles. Cette jolie fille je fini par l'abordait pas sans mal et pas sans aide j'ai de la chance d'avoir comme bonne amies sa meilleur, un cadeau du ciel je suppose. Je me souvient mes bafouillant juste pour un salut ! peut-être est-ce cela que c'est sa qui la fait sourire, qui ma fait me répondre et accepter un rendez vous modeste autour d'un Hamburger bien gras et des frittes, je vous conseille pas l'endroit, mais si je dois le refaire je fais exactement la même, n'allait pas chercher a comprendre, quand tout se passe merveilleusement bien chaque détail et précieux. [Fin petit Flash back ] Sortant du lit les coudes sur les genoux il se gratte les cheveux comme si ce geste allée l'aider a se réveille, il l'était mais plus encore, se levant il repousse les volets pour que le soleil face baigner la pièces dans son or doux. Une capsule, une tasse une pression sur un bouton central et la machine qui tressaute pour faire couler son café du matin, il se saisit de son paquet de clope en met une bouche et passe cinq bonne minutes a trouvais un briquet, le café étant prêt il l'emport en y faisant tomber a l'intérieur un sucre et une petit cuillère a café, il sort sur son petit balcon prenant place sur une chaise de jardin il savoure le nectar noir fumant et sa première clope du matin. La journée s'étaler devant lui avec une merveilleuse promesse, un avenir radieux tout allée bien dans sa vie, c'était le rêve sauf peut-être son père qui lui posait soucis, mais sa décision ne lui appartenais pas, ces ce qu'il se disait en écrasant sa clope et rentrant mettre la tasse vide dans le bac de la cuisine, une douche étais de rigueur longue et bénéfique, un rasage de pret aussi, surtout ne te coupe pas, voilà se que je pense en passant la lame sur ma joue pour en débarrasser de ses vilain poile qui chatouille sa belle et futur femme. Punaise on a l(impression d'avoir le temps, mais il file a une allure, il passe son beau costume acheter il y a des semaines de cela et récupère il y a quelque jours, il a fier allure la dedans sans nul doute elle ne peut que dire oui. [...]Je discute avec mon témoin tout sourire dans l'allée de l'église, ou la cérémonie va avoir lieux d'ici une petite demi heure, quand on me tape sur l'épaule, c'est mon père sourire crispé il m'entraine a l'écart, les mots, dit, les regards, la viole,ce des corps des âmes, j'aime pas m'en souvenir, je n'aime pas voir cela dans les yeux de mon père et entendre dans ma tête les deux voix qui se dispute tel le petit diable et le petit ange qui cherche a l'emporter, on tape, il est l'heure, constance arrive, j'ai les mains moites, le cœur déjà briser, la vie et horrible, injuste pourquoi elle me met cet épreuve, pourquoi ? Ma décision et prise, je me redresse et dépose sur le banc la fleurs blanche que javais accrocher a ma boutonnière, je pousse la porte le temps et au ralenti, je ne voit personne et tout le monde, on me sourit, on calque une main sur mon épaule, les porte s'ouvre la musique démarre, mon cauchemar, je voudrait crier a m'en arracher les poumons, m'enfuir, disparaitre, me réveille surtout, mais la réalité et bel et bien là, je la voit, je meurt a petit feu, elle es sublime, non mieux que cela, la perfection et devant moi, son regard et si doux son sourire lui cris je t'aime elle me tend la main je regard par terre, un silence se pose, elle me parle

Christopher ..?

Je suis désoler Constance.

Je ne peut dire que cela, je la contourne sans même relever le regard sur elle, voir son expression le tuerais, mais ces déjà le cas, mon cœur et reste sur la marche de l'église criant un oui éternel que j n'est put lui déclaré. des sombres mon envahis, je ne voulait voir personne et il on vite abandonner ma compagnie ? une bouteille de Whisky, de scoth tout ce qui pouvait ruiner mon esprit, effacer ses mots, ses pas qu'il a fait, il es ronger par la douleurs, mais si ce n'étais que cela encore. [......] Ces un matin comme les autres, réveille, clope, café, douche se vêtir, récupère le journal devant la porte. en faite non ces un jour différent beaucoup de chose se sont éclaircit, je ne suis pas un homme neuf, mais un homme qui veut sa revanche sur la vie, qui veut récupéré ce qui lui appartiens, je l'aime, je l'est toujours aimais, maintenant que la vérité je la sais, je veut la revoir, je veut lui dire pardon, je veut quelle m'aimais et l'aimais a jamais comme il en étais convenu, je suis décider et j'irai jusqu'au bout.