Maxyne H. Ambrose - Need a second to breathe -

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Maxyne Heaven Ambrose

" Happiness does not exist but you can always try to get closer "

© Lou'

One upon a time.
Je suis Maxyne Heaven Ambrose. Née et toujours vécu à Memphis. J’ai deux parents comme la plupart d’entre nous. Un père dont j’ai toujours été proche et une mère qui fut assez distante, préférant son travail à sa famille. Ce qui ne fut pas bénéfique pour mes parents. Ils se séparèrent à mes 15 ans. Alors comme beaucoup d’autres avant moi, je fit partie de ces adolescents qui passaient un week end sur deux chez leur père. Et le reste du temps chez leur mère. Mais je ne m’entendais pas tellement avec elle, alors à mes 16 ans je partie vivre chez mon père. Depuis, ma mère à décidé de quitter Memphis et je ne l’est pas revu. Je me suis donc retrouvée seule avec mon père. Un an plus tard, il retrouva une femme et se maria avec elle. Bien sur elle avait déjà un passé tout comme mon père et je du apprendre à cohabiter avec son fils. Moi qui jusqu’à maintenant avait pour habitude de ne rien partager excepté avec mon père, ce fut difficile d’autant plus que le fils de ma « belle-mère » était vraiment insupportable…
Après ça, autant dire que je n’avais pas de bonnes prédispositions pour croire en l’amour. Ensuite, pour ne rien arranger, il y a eut ce garçon. Dès que je l’est vu, j’ai sentie mon cœur se serrer dans ma poitrine. Je ne pouvais m’empêcher de le fixer. Je pensais souvent à comment je pourrais l’aborder mais je n’osais rien. Jusqu’au jour où c’est lui qui s’adressa à moi. Ce fut le plus beau jour de ma vie comme on dit mais aussi le pire, maintenant que j’y repense. Notre histoire a duré un an et s’est terminée brutalement le jour où il ma dit qu’il ne m’aimait plus. C’est tout ce qu’il a dit: « je ne t’aime plus, je suis désolé. » C’est mots ont longtemps résonné dans ma tête, je les tournaient dans tous les sens essayant de comprendre. Mais je n’y arrivais pas. Puis quelques jours plus tard je le vis au bras d’une autre fille. Et j’apprit par la suite qu’il la voyait depuis trois mois déjà. Je me sentais humiliée et surtout conne d’avoir cru en l’amour. J’avais pourtant vu ce que ça avait donné sur mes parents. Depuis j’enchaine les relations d’un soir ou les histoires de quelques jours sans grand sérieux. J’ai peur de m’accrocher à nouveau et de souffrir encore.
Heureusement je peut me réfugier dans la musique. Je passe mon temps à écouter de la musique. Je ne sort jamais sans mon Ipod. J’écoute principalement du rock mais quand ça ne va pas, un bon morceau de blues pour déprimer et je repart de plus belle. Il y a aussi l’écriture. Depuis le divorce des mes parents, j’ai décidé de mettre sur papier mes sentiments, mes impressions, mes pensées… Cela m’apaise et au moins je peut écrire ce que je ne pourrais jamais dire.