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| Sujet: Lexy Hurricaine Carter Dim 22 Jan - 19:36 | |
| LEXY HURRICANE CARTER citation
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♦ Carter ♦ Lexy Hurricane ♦ Lex' ; Hur'cane ♦ 21 ans ♦ 19 Février 1991 à Londres ♦ Anglaise et Française ♦ Télépathie/ Contrôle de l’électricité ♦ Célibataire ♦ In pleasure we live ♦ Commerce International
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Lexy est une fille vivante, qui aime rire et plaisanté. Elle n’est pas vraiment timide, et dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Elle est têtue quelque fois, mais très gentille. Elle n’aime pas l’injustice, et n’hésite pas à se battre quand il le faut. Elle a le don de télékinésie et peut contrôler la foudre et l’électricité. Elle fait la fête tout le temps, même si quelque fois, il lui arrive de craquer sous la pression de ses souvenirs. Son père lui manque tout le temps, et elle aimerait tant que ce fameux jour n’existe pas. Lexy Hurricane Carter est née le 19 février 1991, à Londres, dans un hôpital assez chic. Elle est d’origine anglaise, et française, tout comme ces parents Joseph Carter et Mary Carter. Un doux mélange qui lui donne ce soyeux teint pâle rosé, et ses cheveux tout blonds. Lexy parle couramment français et anglais, et est une très bonne élève. Elle est très proche de ses parents, étant fille unique, et n’envisage pas la vie sans eux. Ils sont tout pour elle. Son père est un brillant médecin, renommée à Londres, qui n’est pas toujours présents à la maison, à cause de son travail, mais qui, une fois rentré, passe le plus claire de son temps avec ses deux princesses. Sa mère est décoratrice d’intérieur, assez connu dans ce domaine. C’est elle qui à créer les plans de leur maison, quelque année avant, et en a fait la plus belle demeure familial. Etant toujours dans cette dernière à travailler, elle est encore plus proche de sa fille, a qui elle cède tout. Non pas que Lexy soit capricieuse, loin de là, mais comme tout les enfants, elle a besoin d’attention et de millier de poupée avec lesquels jouer. Alors sa chambre est une vraie usine. Il y a des poupées partout. Mais plus le temps passe, et plus Hurricane grandit, et plus sa chambre change. Les poupées vont laisser place à des posters, CD en tout genre, à une télé, fin’ bref, à tout l’armada d’une adolescente de 17 ans. Pour ces 18 ans, ses parents acceptèrent qu’elle fête sa majorité avec des amis à elle, chez son ancienne meilleure ami, Sarah, qui habitait une petite ville près de chez elle. C’était un peu loin, 1 heure et demi en voiture, mais sa mère, très protectrice, lui en avait donné l’autorisation. Lexy, toute contente, lui avait promit qu’il ne lui arriverait rien du tout, et qu’elle serait rentrée sur les coups de minuit/ une heure du matin. Cependant, tout ne se passa pas comme prévu. Vers 22 heures, heure à laquelle elle était née, dix-huit ans plus tôt, la jeune fille s’écroula par terre, hurlant qu’on lui perçait la tête. La douleur était terrible. Sarah appela alors Joseph, lui disant que sa fille n’allait pas bien, qu’il fallait qu’elle se dépêche. Ce qu’il fit. Entre temps, Hurricane avait arrêté de hurler, mais des centaines de voix pénétraient dans sa tête, devenant un bourdonnement insoutenable. La jeune fille réussi à se relever, et parti en courant de la maison de sa meilleure amie. De l’électricité jaillissait de ses doigts, tandis que les voix continuaient à crier dans son crane. Elle était terrorisée. Elle n’arrivait pas réfléchir sur ce qui lui arrivait. Pendant une bonne trentaine de minutes, la douleur devint insupportable puis plus rien. La jeune fille rouvrit ses yeux, et regarda autour d’elle. Elle se trouver sur une espèce de colline, ou un ravin se trouvait juste à ses pieds. Elle s’en écarta, de peur de tomber. Elle n’était pas bien loin de la maison de Sarah. Elle prit son portable, en pleure, pour appeler ses parents, pour avoir du réconfort, des réponses à toutes ses questions. Lorsqu’elle réussi à avoir son père, ce dernier l’informa qu’il était sur la route, qu’elle n’avait pas à s’inquiété, qu’il arrivait. Elle leur expliqua ce qui était entrain de se passer en elle. Qu’elle avait vu dans éclaire jaillir de ses mains, qu’elle entendait des voix dans sa tête. Son père lui dit que ce n’était rien, que c’était normal, qu’il fallait qu’ils aient une discussion. Qu’il était content que ça arrive maintenant. Lexy ne comprenait pas un mot de tout ce qu’il disait. Pourquoi c’était normal ? Qui dans ce monde pouvait bien avoir des éclaire au bout des doigts ? La panique prit le dessus, et elle se mit à crier, à hurler qu’elle ne comprenait pas. Son père lui ordonna d’une voix calme qu’il fallait à tout prix qu’elle se ressaisisse, qu’ils n’étaient plus loin d’elle. Mais elle n’y arrivait pas. Elle voulait des réponses. Alors son père lui expliqua. Il lui expliqua qu’elle avait un don, tout comme son père et sa mère. Joseph avait le don de la guérison, c’est pour cela qu’il était dans la médecine. Il arrivait à guérir toutes les personnes qu’il voulait, mais qu’il lui fallait beaucoup d’énergie lorsque les blessures était mortelles. Sa mère, quant à elle, voyait exactement ce que les gens voulaient, leur désir profond, c’est pour cela qu’elle faisait une magnifique décoratrice d’intérieur, et qu’elle avait accepté qu’elle aille à cette fête. Lexy ne dit rien pendant quelques minutes, essayant de comprendre ce que son père lui disait. Alors elle avait des dons. Comme ses parents. Pourquoi ne lui avait-on pas dit avant ? Juste la prévenir. Elle aurait été moins déstabiliser. Un bruit strident la fit sortir de ses rêveries, suivit de quelque gémissement de douleur. « Papa ? … PAPA !!!! » Mais personne ne répondait au téléphone. La ligne était coupée. Lexy sentit les larmes monté tandis qu’elle courait vers le bruit qu’elle avait entendu. Elle composa rapidement le numéro des pompiers, leur indiquant le lieu d’un probable accident. Elle priait intérieurement pour que ce ne soit pas son père, que ce soit juste une coïncidence. Elle courra pendant quelques minutes, et vit une longue fumée sortir des arbres, au fond du ravin. Elle cria pour que son père lui réponde. Mais rien. Personne ne répondait. Alors elle descendit vers la voiture qu’elle voyait en contre bas. La sirène des pompiers et des ambulanciers hurlaient derrière elle. Ce fut la dernière chose qu’elle entendit, car, deux secondes plus tard, elle s’écroula, assommée par la douleur qui revint. Hurricane se réveilla deux jours après l’accident, dans un lit d’hôpital, sa mère en pleure à son chevet. elle comprit alors que son père n’était plus là, qu’elle ne le reverrait jamais. Que c’était fini. Elle pleura alors, silencieusement, ne voulant pas alarmée sa mère qui était dans le même Etat qu’elle. Elle lui serra juste la main, lui disant qu’elle allait bien, que tout irait bien, même si au fond elle en doutait. Deux ans ont passé, et même si le drame avait brisée leur famille Mary et Lexy arrivèrent à s’en remettre.
***
« Cher journal,
C’est enfin le moment pour moi de quitter la maison. Je suis actuellement à l’aéroport de Londres, bagage en main, prête à décoller. J’ai fait mes adieux a ma mère il y a à peine une heure, et elle me manque déjà. Comme je vais faire une fois arrivée à New-York ? En tout cas, je suis vraiment pressée d’arriver et enfin pouvoir vivre ma vie comme je l’entends. J’aurais aimé que papa soit là, mais ça n’arrivera pas. Enfin bon, j’arrive a survivre de son absence, même si quelque fois je craque. Il me manque tellement. A la maison ce n’est plus pareil. Maman est bouleversé, et moi .. Bah moi j’essaye de tenir. Ma mère m’aide à gerer mes pouvoirs, ce qui n’est pas très facile mais bon. J’arrive a créer une barrière mental afin de ne pas percevoir les pensées des gens. Des fois c’est trop flippant ! je vais embarquer, j’espère que l’avion ne va pas se scratcher. Ça serait trop bête tien ! »
Hurricane ferma son journal et monta à bord de l’appareil. Elle se positionna à coté d’une des vitres, et regarda le tarmac en bas. Bientôt elle sera à New-York, et une nouvelle vie commencera. Elle eu une pensée pour sa mère et son père, puis laissa son esprit vagabonder, tout le long du voyage. Le lendemain elle arriva dans la ville où elle habitera pendant six longues années. Elle avait louer une chambre d’hotel pour quelque jours, afin de savoir si une fraternité allait bien vouloir d’elle. Elle avait appris que Columbia été une université où des gens comme elle étudaient. Elle avait vraiment hate d’y être.
Pourquoi as-tu choisis cette confrérie, ce groupe ? Pourquoi celle-ci et pas une autre ? Dis nous ça rapidement, on t'écoute toujours ! Ton nom : Aurélia Ton âge : 19 ans Tu habites où ? Paris Tu fais quoi dans la vie ? Etudiante en comptabilité Ta fréquence de connexion ? 7/7 Où as-tu connu le forum ? Je suis l'une des créatrice (aa) Des suggestions ? : Complètement FOLLE et SADIQUE ! tes crédits : ici chamallow/ Le code du réglement : Validé |
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