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Nathanaël │ Happiness is only real when shared ♥

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AuteurMessage
Messages : 50
Date d'inscription : 18/01/2012

Féminin Age : 34
Etudes / Emplois : Etudiant en Médicine / Danse en Option / Serveur au Starbuck le Weekend.
Avatar : Orlando Bloom
crédits : Sianna ♦ Tumblr


Nathanaël │ Happiness is only real when shared ♥ _
MessageSujet: Nathanaël │ Happiness is only real when shared ♥ Nathanaël │ Happiness is only real when shared ♥ Icon_minitimeLun 23 Jan - 23:32



NATHANAËL ZEPHYR SORIANO

« Happiness is only real when shared. Into The Wild. »


♦ Soriano
♦ Nathanaël Zephyr ♦ Nath'
♦ 23 ans ♦ le 7 Avril 1989
♦ Américaine - Brésilien ♦ Ressent la douleur des autres et peut l'absorber │ Peut communiquer mentalement avec sa soeur ♦ Option médecine à Columbia, travaille le weekend dans un Starbuck.
♦ Célibataire ♦ In the dark we cry



Into the wild

♦ Il est impulsif, parfois même violent, et ceci est incontrôlable. Son histoire personnelle l'empêche d'avancer complètement, il est toujours rattaché à ce qui s'est passé.
♦ Très rancunier, il lui arrive d'être susceptible, de rapidement s'énerver ou bien d'occulter des personnes.
♦ Il adore faire la fête, boire à outrance, se réveiller dans des endroits inconnues.
♦ Il aime l'humour, est très franc, et supporte pas les mensonges, il a des valeurs qu'ils partagent avec les gens de son entourage, les autres ne valent pas la peine selon lui.
♦ Il boit pas de café, que du thé, il fait du sport tous les jours, il danse dès qu'il le peut, c'est-à-dire tous les jours.
♦ Il est accroc aux femmes sans doute pour essayer d'oublier Ana...


Remember me



Je suis un enfant des bordels de Brooklyn & je t'emmerde.

Le bruit des voitures sur le pont. Le bruit du métro qui le traverse. Vivre sous le fameux pont de Brooklyn, c'est pas forcément la meilleure des configurations si on veut gagner le concours des conditions de vies les plus appréciables. Et pourtant, je n'échangerais ma vie avec personne d'autre. Surtout pas avec tous ces bourges de l'Upper East Side. J'ai grandis avec ma mère, et ma soeur, et c'est grâce à elles que j'ai compris cette dure réalité : Dans la vie, sans argent on ne vit pas, mais on survit. La seule chose qui nous reste alors, c'est l'amour de la famille. J'ai toujours été proche de ma mère. Je l'accompagnais faire ses ménages le matin, le soir, sortir les poubelles des résidences chicas des quartier de la Grosse Pomme. J'adore cette ville, parce que d'une rue à l'autre on brasse toutes sortes de populations. Je ne considère pas ma provenance comme étant une tare, j'en suis extrêmement fier. Ma mère ne parle pas vraiment bien l'anglais, nous communiquons en brésilien à la maison - du portugais de chez nous. Mais elle fais des efforts tous les ans, je le remarque à chaque fois. J'aime voir à quel point ma mère est la femme la plus forte que je rencontrerais dans ma vie. J'ai grandis avec un ballon, comme la coutume de chez moi. C'est fou, on aurait pu me stigmatiser, mais dans mon quartier, on était qu'entre hispaniques, latinos, portugais. Alors on avais cette culture de la rue. Le block derrière c'était les afros qui touchaient le basket, je les adorait ils étaient trop accueillant.. Celui à côté c'était les chinois. Euh, je sais pas trop à quoi ils jouaient, je squattais pas trop avec eux. Je me rappelle avoir passé le plus clair de mon temps dans la rue. J'allais à l'école une fois de temps en temps, ma mère ne savait pas que je préférais passer mon temps à .... danser.


Qu'est-ce t'as dit ? La danse c'est pour les tapettes ? Approche un peu tu vas voir qui c'est la tarlouze.



La danse ... C'est mon exutoire. Depuis petit, mon corps se mouve au rythme du son. Depuis le jour où je l'ai vu. Qui, c'est elle. Elle, C'est Ana. Ana était mon amie, Ana était plus que mon amie. Ana était ma vie. Elle m'a fait connaître cette danse, je n'avais que 16 ans. Un jour, je rentrais alors du lycée, cherchant à comprendre pourquoi l'histoire de mon pays m'aiderait à m'en sortir, quand je me suis arrêté au fin fond d'une ruelle. Ma mère devait travailler, personne ne devait m'attendre à la maison, j'avais donc tout le temps qu'il me faudrait pour comprendre d'où venait cette musique. Je l'ai vu, elle, mais avant tout, la Danse. Ma Ana. Ana est à la fois le nom que je donne à la danse et le nom que porte cette fille qui a incarné cet art, cette mode qui est devenue passion en moi. C'était des cours particuliers, du contemporain, le lieu n'était autre que le hangar desaffecté du quartier. Je ne l'avais jamais remarqué, mais ce lieu était beau. La froideur des briques, la hauteur du plafond. Et la musique, les pas, les mouvements. Je suis repartie chez moi après un regard pour Ana. Les deux Ana.



BROOKLYN.


J'adore mon quartier. Je vous l'ai déjà dit, mais j'adore mon quartier. J'adore ma mère, j'adore mes voisins. J'adore mon voisin afro, avec qui , en rentrant des cours, j'étais donc au lycée, nous nous amusions à chanter chez lui. On créait des sons sortant de notre imagination, mit bouts à bouts qui donnait une mélodie parfaite pour ma voix. J'étais comment dire assez doué. Depuis quelques semaines, depuis mon passage au hangar est la découverte qui m'avait parfaitement perturbé, j'avais décidé de mettre mes capacités là où elles devaient être, c'est à dire entre mes mains. On s'amusait à se produire en bas de chez nous. Puis un jour, je l'ai vu. Qui ? Ana ...



GRACE A TOI JE SAIS QUI JE VEUX ETRE.

Elle avait alors traversé la rue, nous fixant, nous écoutant. J'avais alors arrêté de chanter, et elle s'était arrêté de marcher. Mon pote avait de suite compris que, peut importe ce qu'il me dirait, je ne répondrait pas. J'étais comme subjugué, apeuré, éblouis par elle. Je détaillais son corps, ses vêtements, elle allait sûrement à la danse classique. Et moi, j'étais là, dans la rue, comme un délinquant étranger, avec son pote le black, son baggy porté bas pour montrer que j'avais de quoi parler. Franchement, je me suis senti alors bien con. Et pourtant, j'ai ravalé ma salive, j'ai pris mes couilles entre mes mains - pardonnez moi l'expression, à ne pas prendre au premier degrés - et j'ai avancé vers elle. « Escuz' moi. Tu t'souviens de moi ? » « Pourquoi je devrais ? Je traîne pas dans ce quartier. » « Alors oui, tu devrais, et en plus de ça, c'est pas bien de mentir. Je t'ai vu, au hangar 301 y'a quelques semaines. » « Tu fais quoi, tu m'espionnes ? » « Oui, c'est un crime ? » « Un délit. » « Appelle le 911 » « ... » Elle était partie. Puis je suis revenu, une heure après, je suis entré dans ce hangar. J'ai jalousé l'homme qui dansait avec elle. J'avais la haine contre lui. Je ne devrais pas. Entre ma conscience et mon impulsivité, plusieurs trains passent et ne s'arrêtent jamais. A la fin, elle est venue me voir, est restée planté là, ma presque insulté du regard, je me suis levé, je l'ai défié, puis, j'ai lancé, tout doucement : « Apprend moi. »



Cours particuliers. EMBRASSE MOI.



Le lendemain, nous nous sommes rejoint. La nuit passé a discuté avec ma soeur, j'étais sûr de moi. J'avais 15 ans et toute mes dents. J'avais soif d'apprendre et la folle envie d'être avec elle. Jamais je n'aurais cru poser un tel regard d'admiration autre que sur ma mère. La femme de ma vie, ma Reine. Et pourtant, cette inconnue aux yeux terriblement noisette m'a retourné. J'avais quitté le quartier très tôt, j'avais commencé à m’entraîner chez moi, avec mon pote, et tout irait bien. J'avais l'art dans le sang non ? Elle m'a touché, m'a caressé, m'a susurrer des ordres, j'adorais ça. Il fallait que je comprenne enfin que ce n'était que dans le cadre d'un sage apprentissage. Mon éducation à la danse. Pourtant, je la voulais. Elle. Et mon envie pour elle a vite était calmé par l'amour pour la danse. J'ai très rapidement cerné les pas, j'ai toujours été souple. Je me rappelle du jours où nous avions alors décidé de sortir et de montrer notre talent à tout le monde. J'avais aucune honte, j'étais doué, je le savais, et nos rue n'était qu'une galerie artistique à passage continue, un spectacle de plus ou de moins ne choquerait pas. Le poste de musique était posé sur la vieil voiture de mon ami. Au première note de The Fray, notre osmose fut juste ... débordante de complicité. Nous étions fait pour être ensemble. Euh, danser ensemble, je voulais dire ...



La musique prit fin et naturellement je me suis avancé vers elle, j'ai posé mes deux mains autour de ses joues , bloquant certaines mèches de ses cheveux châtains, et nos lèvres ne firent qu'une. Comment exprimer ce que j'ai alors ressentis. Je ne pense pas un jour pouvoir mettre un nom dessus. Ce que je sais, c'est que c'était fort. Et partagé.



REGARDE COMME JE SUIS FORT. REGARDE COMME TU ME RENDS FORT.



Je sais que je suis violent. Je le sais. Je sais que je peux paraître froid aux premiers aborde. Je sais que je pars au quart de tour, et que je deviens vite incontrôlable. Mais j'ai mon sourire, et ça je crois que ça vaut toutes les merveilles du monde. J'ai l'habitude de me battre, depuis toujours. Depuis petit. Je n'ai jamais vraiment eu d'affect, mise à part à ma mère à qui j'ai toujours tout donné. J'ai même essayé de remplacer ce père que je n'ai jamais eu. Puis j'ai alors compris que l'utopie n'existait pas. L'Homme est un Loup pour l'Homme. Alors, j'ai tenté de vivre. J'ai tenté de survivre. J'avais Ana à mes côtés, je me sentais donc très fort, même le plus puissant. Personne n'aurait même pu penser imaginer m'arrêter. Nous avions cette idée, elle et moi. Vivre ensemble éternellement. Depuis le jour où je l'ai vu, le jours où son sourire m'a éblouis. Ce sourire elle ne me l'avais pas donné, non, elle souriait pour la musique, la danse, l'amour d'une passion. Et c'est pour cette raison que je l'ai aimé. Elle et tout ce qu'elle était. J'aurais pu mourir pour elle, j'aurais pu tuer pour elle, j'aurais pu séquestrer pour elle. J'aurais pu même me foutre en l'air pour toi. Oh Ana, si tu savais comme je t'aime, si tu savais comme tu me manques. Si tu savais comme j'aurais aimé être là, cette-nuit là, ce carrefour-là. Si tu savais comme j'ai la Haine.



JE T'AIME . POURQUOI AS-TU REFUSE DE LUI DONNER SA CIGARETTE ? TU NE FUMES PAS. ET SI ON MEURT POUR UNE CIGARETTE, MAIS QU'ON REFUSE DE FUMER POUR NE PAS MOURIR, POURQUOI ON MEURT QUAND MÊME ? MON DIEU QUE JE T'AIME.


Un jour que je marchais vers le Starbuck où je travaille, je n'ai pu faire d'autres pas que j'étais par terre, écroulé, des crampes affreuse au ventre, un mal de crâne interminable, comme si des larmes de rasoirs me plantaient...


1h aprèsJe t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Pourquoi tu es passé par ce quartier ce 8 Novembre 2008 ? Pourquoi ? Deux ans d'amour que tu m'as donné, je ne crois pas pouvoir un jour t'oublier. Je danse pour toi, je chante pour toi, j'écris pour toi, je ne vois que toi. Jamais je n'aurais pu m'imaginer continuer sans toi. Ma soeur à mes côtés m'amené à l'hôpital te voir. Elle ne comprenait rien, je venais de lui expliquer comment j'avais préssentit ta mort, et elle semblait muette, j'ai compris plus tard pourquoi.



DIS MOI ANA, TU PENSES QUE SI JE TIRE, JE TE REJOINDRAIS ?



Ana, je n'ai même pas pu tuer la personne qui t'as enlevé à moi. Je ne sais pas pourquoi. Sûrement parce que les flics l'ont tué avant. Je ne sais pas trop pourquoi. A vrai dire, mes yeux sont cernés de larmes, je ne vois plus rien, ma feuille blanche noircis par ce stylo devient de plus en plus instable. Je ne sais pas pourquoi j'ai peur. Sûrement parce que j'ai cette arme avec moi. Sûrement parce que je t'aime tellement que je ne pourrais jamais te le dire à nouveau. Sûrement parce que je ne t'ai l'ai pas dit assez. Ana, je t'aime. Est-ce que tu penses qu'on se retrouvera plus tard ? Tu penses qu'un Dieu existe ? Mon tatouage au pectoral droit, tu t'en souviens ? «I'm not a slave to a God who doesn't exist». Tu sais que je hais cette phrase. Car elle est troop vrai. Rien n'existe en haut. Rien n'existe en bas. Mais alors où vais-je te retrouver ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Je crois avoir perdu mon Humanité, je suis devenue tout ce que je détestais, tu étais ma seule raison de vivre. Pourquoi m'as-tu fais ça ? Finalement, je t'avais toujours dis que tu finirais par me tuer. Car même debout, je ne suis plus. Je regarde ce téléphone qui ne sonne plus, je suis seul dans mon lit et le serais sûrement à jamais. Mon Dieu, pourquoi as-tu fait ça ? Et qui je suis ? Dis moi qui je suis ? Pourquoi depuis quelques jours je ressent le mal des autres ? Oh Ana, tu me manques tellement.


LE SOLEIL NE SE LÈVE JAMAIS DANS MON PAYS


But in the end everyone ends up alone. Losing her, the only one who's ever known. Who I am, who I'm not and who I wanna be. No way to know how long she will be next to me.

Un an après, j'ai réussi à m'en sortir. Sa a été dur, je ne sais même pas comment j'ai fait, ce que je sais, c'est que je garderais à vie ces cicatrices, les cicatrices de mon amour pour elle. J'ai avancé, et j'ai pu faire de son rêve le mien. Ainsi, elle vit en moi, se perpétue en moi, c'est l'essence même de ce que je peux appeler ma survie. L'essence même de mon existence ici. Si je n'ai pas tirer sur la gachette, c'est uniquement car j'avais joué à ce jeu, la roulette russe. Une chance sur deux de mourir, le Destin a voulu que je vive, je ne referais jamais ça. Je sais maintenant que vivre lui permet à elle aussi de vivre.
On m'a dit un jour " Les morts vivent à travers les vivants ". C'est fou comme c'est vrai... Cette photo, c'est la première que j'ai faite en temps que mannequin. Rappelle toi, tu m'as dit un jour : « Quand tu défiles pour moi, je ressens toute la beauté de ton âme, tu dois le faire partager, ce serait un crime de ne le montrer qu'à moi. » Vois-tu comme je t'écoute mon amour...



LE SOURIRE SE PERD COMME SE RETROUVE.[



J'ai retrouvé le sourire car comme je te l'ai dit, j'ai réalisé ton rêve. Toi qui voulait étudier la danse, le chant, l'art en tout genre. J'ai intégré cette école que tu adulais tant. Columbia. Ton dossier avait été accepté aussi, sache-le. Tu as gagné ta bataille Ana. J'évolue dans cette univers, je m'y plait, bien qu'il me manque ta présence. Mais j'arrive à vivre. C'est moins dur que je ne le pensais. Sûrement car je tente de faire des efforts. Ma soeur est avec moi, et j'ai quelques amis , tu sais. Ils ne viennent pas du même milieu que moi, mais que veux-tu .. J'ai appris à accepter la différence grâce à toi. Et je suis différent. Et je comprend mieux maintenant. Tu me disais toujours d'accepter ma différence. C'est ainsi que lorsque je suis entrée à Columbia, le doyen est venue m'apporter une lettre, en m'expliquant qui j'étais, en me faisant savoir que ma famille était l'une des plus ancienne de cette tribu brésilienne qui savait allumer le feu par le regard, manipuler les pensées des autres, communiquer sans parler, réchauffer la glace... Ressentir la douleur physique et psychologique des autres. Et il m'a dit que tu étais des leurs. Sa cousine. Ana, tu étais sa cousine, tu savais tout de moi, et tu ne m'as rien dit. Tu espérais me faire comprendre ma nature plus tard une fois ici. Et tu sais quoi, je n't'en veux même pas.


AND THE SUN WILL SET FOR ME OVER & OVER AGAIN.

C'est fou comme tu me manques. Voilà maintenant trois ans que j'ai inclus la vie de Columbia, je suis désormais le Président d'une confrérie, et je sais que tu aurais su diriger avec moi, toi qui étais si princesse. Ma soeur est elle aussi avec moi, et elle sait communiquer avec moi. Et moi aussi. Je me demande combien de facultés je vais développer ici. Et je comprend son mimétisme le jour de ta mort. Elle savait aussi. Sinon, niveau caractère, rien ne change depuis ta mort. Je suis une peste. J'aime faire redescendre les gens. Qu'ils comprennent qui ils sont vraiment, et que l'égalité des chances ce n'est pas juste une idéologie. Est-ce vraiment fou de vouloir, de prétendre vouloir les mêmes chances que tous ? Tu sais, avec toi, j'ai jamais vraiment vu que tu étais riche. Tu as habité chez moi très longtemps, tu as mis de côté ton groupe de référence champagne petite cuillère, pour le mien. Je n'avais rien à t'offrir, et je pense que je n'ai rien à offrir à personne. Je suis devenue si négatif depuis ta mort. Je pense que je suis désormais prêt à avoir quelqu'un dans ma vie, quelqu'un qui puisse me réveiller. J'ai été trop suffisant, j'ai trop longtemps cru que j'avais tout, puisque tu étais à mes côtés. J'ai besoin desormais qu'on me rappelle que je ne suis qu'une particule de merde dans ce monde. J'ai regardé Fight Club hier, tu sais à quel point j'aime la vérité de ce film.

Je voulais que tu le saches. Que tu saches que désormais je suis prêt à ouvrir cette porte qu'est la Vie, et à ne plus me cacher sous ton Ombre. Ne plus penser que vivre se résume à survivre. Je veux aimer, & encore plus que l'on m'aime... Je te promet que j'aurais aimé ne pas avoir à te dire ça. Mais finalement, je n'ai plus à me justifier. Ana, tu es partie. Tu restera toujours dans mon coeur, à jamais ancré en moi. Mais un jour, Ana deviendra Elle, et Elle deviendra quelqu'un d'autre. Je sais que c'est dur à dire, j'en pleure d'ailleurs. Mais je ne peux pas continuer à croire que le passé est ma réalité. C'est terminé. Sache seulement une chose Ana,[size=12] je t'ai tant aimé. Peut-être même un peu trop.

Lost in Translation

Pourquoi as-tu choisis cette confrérie, ce groupe ? Pourquoi celle-ci et pas une autre ? Dis nous ça rapidement, on t'écoute toujours !



It's my life

Ton nom : Nora ♦ Nono ♦ Sianna Ton âge : 21 ans Tu habites où ? Pau Tu fais quoi dans la vie ? Ecole d'assistante sociale Ta fréquence de connexion ? 6/7 Où as-tu connu le forum ? Je l'ai construit avec les trois autres admins Des suggestions ? : tes crédits : Barda ♦ Sianna/ Le code du réglement :Code ok.

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