•Du point de vue de Jonah : Charlie ? Je vais vous le dire moi ! Cette fille est aussi fermer qu'une huître, mais je pourrais me venter en disant que moi, j'en sais beaucoup sur elle. Cette gamine n'a pas froid aux yeux, bon nombres de fois elle a remis les anciennes -les femmes qui sont Callgirl depuis un moment déjà- à leurs place et puis elle est très déterminée : Elle ferait absolument tout pour avoir ce qu'elle souhaite. Elle ne sourit jamais, comme si elle s'interdisait de ressentir quoi que ce soit. Une coquille vide. Mais moi, je l'aime bien ! Elle est pas facile à vivre mais je l'aime bien. C'est ma famille, vous voyez ?
•Du point de vue de Danielle : Alessia , je l'adore ! C'est même moi qui l'est aidé à trouver un pseudonyme et éventuellement expliquer comment.. enfin vous savez, quoi. Elle ne parle pas beaucoup , ne se mêle presque jamais aux autres filles mais bon, elle est jolie et a de beau cheveux ! J'ai l'impression qu'elle n'est pas vraiment heureuse, enfin je dis ça , j'en sais rien. Personne ne la connais vraiment. Mais on a certain points commun tout de même : Carpe Diem, bébé ! Carpe Diem !
• Du point de vue de Kassidy : Alors je vais vous le dire tout de suite, cette fille je ne voudrait me retrouver dans la même pièce qu'elle pour rien au monde ! Non , parce que je ne l'aime pas, non du tout , enfin peut être un peu ! Mais cette fille me fout les jetons, une fois je l'ai même vu allumé une cigarette avec son doigt, je jure sur tout les dieux que c'est vrai ! C'est le satan même cette fille, elle semble tellement loin de nous , tellement obscur ! Je mettrais ma main à couper qu'elle n'est pas comme nous, pas des notre ! J'attends seulement de pouvoir le prouver mais elle est si mystérieuse que cela m'est impossible ! La garce.

Charlotte Alessia Hanzel-Fritz est une jeune femme atrocement têtue,elle n'obéit qu'à ses propres règles. Réservée et affreusement mystérieuse, très peu bavarde. Nul ne sait réellement qui elle ait et selon elle, c'est bien mieux ainsi. Passée maître dans l'art du 'je m'enfoutisme', de la répartie cinglante . C'est une personne très profondément brisée et atrocement bouleversée, autant que pourrait l'être une personne qui aurait involontairement tué ses parents. Rongée par la culpabilité , c'est à peine si elle vit réellement. Elle se donne tellement de mal afin de ne rien ressentir de joyeux ou d'amoureux , afin de souffrir les pire maux ! Charlie se plait dans sa souffrance, elle en a besoin, elle le mérite. Elle s'est perdu le soir où elle a perdu ses parents. Profondément perturbée, salement amochée : Elle s'est éloignée de la seule personne qui l'aidait à se sentir mieux. Le seul qui l'avait réellement fait se sentir importante, utile et respectée. Bref, cette fille est totalement barge mais surtout masochiste ! Pourquoi dire non à l'amour quand on peut dire oui ? Imbécile, je vous dit !
A part ce côté dingue, c'est une fille déterminée . Elle obtient toujours ce qu'elle veut et ne se laisse jamais démonter. Elle a beaucoup de cran et est prête à tout quand elle a quelques chose en tête. Comédienne hors pair ! Mentir est devenu son quotidien, elle n'assume pas du tout ce qu'elle est . Pour elle , ses dons sont une vraie malédiction , elle sait -croit- qu'elle est maudite. Le plus souvent, elle se ment à elle-même : Au fond , elle est toujours cette petite fille qu'elle était . Elle s'est juste forgé une carapace qui finira par la tuer un de ces quatre, elle n'en a pas conscience et même si ça aurait été le cas : Elle s'en ficherait.
Charlotte est une grande passionnée des Arts, c'est tout ce qui la rattache à ses parents. Tout ce qu'elle autorise comme plaisir.
Charlie a un sérieux manque d'estime de soit. On est bien d'accord, cette fille gâche sa vie ! La débauche, son mode de vie et sa passivité la tuera.

Charlotte Alessia vit le jour le vingt deuxième jour du mois d'octobre de l'an 1991 dans un des hôpitaux de Munich. Ses parents Oskar et Bianca étaient les géniteurs les plus heureux au monde car en effet après de longues années de tentative : Il avait enfin leurs petite fille.Une jolie petite fille à la peau porcelaine et au cheveux blond vénitien . Elle relevait du miracle, c'était leur petit miracle à eux.Charlotte a grandi dans l'amour et la joie dans sa ville natale . Étant fille unique , elle était chérie et choyé par ses parents .Même si ses parents n'étaient pas d'une famille aisé, elle n'a jamais manquer de rien . Il lui en fallait pas beaucoup pour être heureuse même si elle préférait prendre soin des autres ; Faisant passer leurs bonheur avant le sien. Elle avait une grande passion à laquelle ,elle exerçait le plus claire de son temps : Le dessin, la peinture. Tout ce qui rappelaient les Arts et était même très douée pour son jeune âge. Elle était normal à cette époque là, sa vie était parfaite et elle n'en demandait pas plus. Charly` n'aurait jamais voulu que cela ne change mais le destin en avait décidé autrement.

C'est à l'âge de9 ans qu'elle fit un rêve des plus troublant, elle s'était réveillée en sursaut et la sueur perlait sur son front. Une sueur froide presque glacée qui la figeait totalement. Ce n'était pas la première fois qu'elle faisait ce genre de rêve, en réalité elle en avait toujours fait aussi loin qu'elle se souvenait et souvent -non, tout le temps- , ils se réalisait. Elle voyait un avion s'écraser en rêver et le lendemain elle l'entendait aux information , elle rêvait de grosse catastrophe comme elle pouvait rêver que demain , il ferait beau et toujours cela arrivait réellement ! Bien entendu, elle avait essayé d'en parler à ses parents mais à cause de ses aveux, elle était contraint de voir un psychologue tout les Vendredi après-midi de seize heure trente à dix-sept heure trente.
Mais elle se rendait bien compte que cette fois-ci c'était différent, ce rêve-ci la concernait, elle. Charlotte venait d'assister à la destruction de tout son monde, de tout ceux en quoi elle croyait avant que cela n'arrive. Elle était bien placer pour savoir qu'il était absolument inévitable d'empêcher les agissement du destin, impossible. Plus jeune, elle avait essayé d'empêcher la mort de son chat en le gardant à la maison, en l'empêchant de sortir et de faire écrasé par un automobile mais le chat était mort quand même : étouffer par une de ses croquettes avait dit le vétérinaire. La petite fille n'avait rien à perdre d'essayer, elle s'empêcherait de mettre le feu à la maison car elle partirait avant !
Elle sortit de son lit en silence, prit son sac Winnie L'Ourson dans lequel elle enfila quelques vêtement et son doudou puis s'habilla chaudement même s'il faisait une chaleur d'enfer. Charlotte descendit les escalier, s'arrêta devant la chambre de ses parents et posa délicatement sa main sur la porte tout en se mettant à sangloter en silence. « Je suis tellement désolé. », murmura-t-elle doucement. Elle bondit en arrière quand ce qu'elle redoutait tellement arriva, la porte venait de prendre feu ! Comment, aller savoir ! «  Non ! », hurla-t-elle tandis que le feu se propagea trop rapidement. «  Maman , Papa, Papa ! », Reprit-elle plus fort tout en toussant à cause de la fumée. «  SORTEZ DE LA S'IL VOUS PLAIS ! J'AI PAS FAIT EXPRÈS, PITIÉ SORTEZ ! », Hurlait-elle sans cesse tout en crachant ses poumons. «  Ma chérie sort d'ici, mon bébé. Sauve toi! », lui dit son père derrière la porte. « ] On t'aime Charlotte. Va-t-en, vite ! », reprit sa mère. «  Non.. », commença-t-elle alors que son père la coupait. «  Charlotte sort vite, on te rejoint dans le jardin. On sortira par la fenêtre. », il n'en fallut pas plus à Charlotte pour sortir et courir vers le jardin.

Idiote, Débile, Triple andouille, Imbécile ! La fenêtre de ses parents étaient scellé à cause des travaux de rénovation. Elle courut appeler les voisin qui eux appelèrent les pompier et l'ambulance mais ils arrivèrent trop tard. Ce jour là, son rêve prémonitoire s'était réalisé plus tôt qu'elle ne l'avait prévue. Elle avait rêver qu'elle découvrait un nouveau pouvoir et qu'involontairement elle mettait le feu à la maison : C'était ce qui c'était passé. Comme le destin était fourbe et subtil ! Elle avait tout perdu ce soir là.



Quelques semaines plus tard, Charlotte Alessia Hanzel-Fritz se voyait placé dans une famille d'accueil en attendant de trouver une famille qui voudrait bien l'adopter. Charlotte était brisé, elle ne parlait plus, ne jouait plus, ne dessinait plus ; La petite fille vivait avec cette culpabilité féroce qui la bouffait de l'intérieur ! Elle avait tué ses parents et elle était vivante , elle avait tué ses parents, elle avait tué ses parents ! Mais quel genre d'être était-elle ? Elle se dégoutait, elle se faisait peur à elle-même. Elle avait tué ses parents à cause d'une foutu anomalie qu'elle ne contrôlait pas.
Alors elle apprit, elle s'entrainait chaque soir , chaque fois qu'elle en avait l'occasion pour le maitriser avant que cela ne tut d'autre personne.

C'est à l'âge de 12 ans qu'elle se vit adopter par une riche famille de Chicago. Une famille qui savait que ses parents étaient mort dans un incendie , tout le monde avait crut que c'était à cause de la chaleur étouffante de cet été,là. Tout le monde ! Et c'était bien ça le pire, le fait qu'elle ne pait pas pour son crime alors c'est dans l'avion qu'elle se le promit : «  Je me promet de ne jamais être heureuse, jamais. ».
Jessica et Arelia O'connor , ses deux mères adoptive. Elles l'obligèrent à voir un psy ce qu'elle comprenait au fond. Qui voudrait d'un gosse muet et dépressif ? Alors elle dut faire semblant d'aller mieux, même si ces femmes n'étaient pas ses vrais parents sa première nature restait profondément encrée en elle. Elle aimait voir les gens de son entourage heureux et cela n'avait pas changer. Alors oui, elle fit semblant d'aller mieux. Charlotte se remit à parler et a dessiné. Son talent, c'était bien là tout ce qui lui restait.

Charlotte courrait, courrait , courrait. Elle courrait jusqu'en perdre haleine, elle courrait comme si sa vie en dépendant. Elle courrait avec ses bagages vers l'aéroport, elle devait partir d'ici et rapidement ! Charlotte avait à présent 18 ans et avait décidé de reprendre son véritable nom de famille. Et don , elle courrait comme jamais elle n'avait couru auparavant, Arelia l'avait surprise ce soir même même dans le jardin, le corps rayonnant de flamme vif ; Elle l'avait vue ! Tout était finit, elle allait obligatoirement faire le rapprochement avec la mort de ses parents et elle ne voudrait pas voir cette déception dans son regard : C'était hors de question.
Alors elle claqua presque la moitié de son fric pour un aller simple vers New York City .

New York, la ville lumière , elle n'aurait jamais pensé qu'elle mettrait un jour les pieds dans cette vie hormis peut être pour aller à l'université afin de faire des études d'art : Gagner sa vie et être indépendante, c'était l'essentiel. Qu'elle vive dans un appartement pitoyable ou dans la rue, peut importait, elle n'était pas prête d'oublier sa première passion. C'était tout ce qui lui restait de son enfance, cette passion qu'elle partageait avec sa mère.
Donc, elle s'envola pour New York où vivait un très bon copain rencontré sur le net,Jonah .Il accepta de l'héberger chez lui , lui disant qu'elle n'était pas obligé de payer la moitié du loyer avec lui. En effet, Jonah travaillait pour une agence dont Charly ignorait tout mais étant donné l'appartement du jeune homme, il semblait bien gagner sa vie. Mais ne pouvant pas se reposer éternellement sur lui, elle le savait, ça qu'elle ne pouvait pas. Alors elle se mit à chercher du boulot, un peu partout. Un boulot qui lui permettrais d'épargner assez d'argent afin de s'inscrire à l'université l'an prochain. Elle trouva plusieurs job, mais elle ne sut en garder aucun. Non, ce n'était pas par manque de qualification – Tout le monde savait servir un café ou une frite !-Non, les patrons disaient généralement qu'elle ne souriaient pas aux clients ou encore qu'elle était désagréable. La jeune femme commençait à désespérer, aucun rêve ne lui prédisait qu'elle trouverait bientôt un job, en réalité. Cela faisait bien longtemps qu'elle avait cessé de faire des rêve qui la concernait.
Bref un soir, elle accompagna Jonah à une de ses soirée à son agence dont elle ignorait toujours tout, il lui avait dit qu'il lui présentait quelques personnes, que peut être ils décideraient de l’embaucher. C'est en arrivant à la soirée qu'elle comprit de quel genre d'agence il s'agissait et à vrai dire : Elle était tellement désespéré que que ce job consistait à accompagner certains hommes assez riche à des soirées et qu'elle serait payé une fortune pour ça.
Alors les filles – les autres callgirls- lui expliquèrent le fonctionnement de ce métier, c'était un métier comme un autre après tout. Elle n'avait pas besoin de s'envoyer en l'air avec eux et même s'ils appelaient pour demander, elle pourrait refuser si elle ne le souhaitait pas. «  Bon, au cas où il te le demande à la dernière minute. Tu sauras lui donner un avant goût n'est-ce pas ? », Elle hocha la tête, elle mentait. Elle n'avait jamais toucher une queue de la vie ! « Elle ment, tu vois pas que c'est une vierge, Danielle ? C'est gros comme une maison, aussi visible qu'un pif au milieu de la tronche ! »,reprit Kassidy en mâchant grossièrement un chewing-gum à la pêche. «  Encore mieux, ils adorent les petites vierges. »,répliqua-t-elle simplement avant qu'elles ne l'embarque dans une explication détaillé de ce sujet qui lui était jusqu'alors tabou , le sexe.

Jonah lui avait choisi quelques clients qui ne demandait qu'à être accompagné aux soirée ou tout simplement à diner quelques fois. Des types assez agé qui manquait cruellement de compagnie , ces types lui faisaient pitié mais elle se taisait et jouer le jeu. Pour le fric que ça lui faisait, elle aurait bientôt de quoi pour toute l'année à l'université. Ah oui, l'université ! Elle prenait des cours sur les net afin de rattraper le peu de retard qu'elle avait et avait déjà envoyé sa candidature dans plusieurs bahut qui l'interressait plus ou moins pour sa section Art.
Toute les semaines, elle se rendait deux fois dans un bar plutôt de Upper où elle dinait avec André, un homme assez âgé qui la considérait étrangement comme sa fille. Chose qu'elle trouvait assez dégoutante mais bon, elle devait admettre qu'il était assez sympathique. Et tout pratiquement chaque soir, elle voyait un homme. Il devait avoir dans la vingtaine, il était plutôt pas mal du tout dans son genre mais quand même pas mal étrange. Elle rêvait souvent de lui le soir, elle voyait quelques brides de sa vie sans jamais voir son futur et cela l'intriguait particulière . Sans compter que ce jeune homme la regardait souvent. Chose qu'elle trouvait étrange et assez flatteur. Chaque soirs où elle allait dans ce bar, elle le cherchait du regard, comme si c'était devenu une habitude . Quand elle ne le voyait pas, elle paniquait étrangement et quand elle le trouvait enfin, elle était plus que soulagée. Un sentiment qu'elle ne s'expliquait pas. Ils se regardaient sans jamais se parler, jamais. Et elle savait que c'était mieux ainsi.

Un soir , elle dinait avec André quand celui-ci décrocha son téléphone, s'excusa platement , la paya et parti. Elle avait baisser les yeux sur l'argent puis les avaient relever afin de jeter un regard vers le jeune homme qui la regardait encore et toujours. C'en fut trop, elle fourra l'argent sur la table et fila aux toilettes. Elle avait honte . Ses parents auraient tellement était déçu de ce qu'elle était devenu, Arelia et Jessica aussi ; Elle se sentait tellement mal en se regardant dans ce p*tain de miroir, elle n'avait pas ressenti ça depuis tellement longtemps. Non, elle le ressentait tout les jour mais rarement aussi fortement. Elle en tremblait, elle poussa un cri tout en envoya violemment dans le miroir qu'elle ne brisa même pas. Elle avait juste réussit à se faire très mal et savoir qu'elle souffrait la soulageait.
Vivement elle avait sortit un sachet de poudre magique blanche de son sac et se l'était entièrement enfilé, beaucoup trop pour être défoncé, pas assez pour se tuer. Peu de temps après, elle avait perdu connaissance.

Elle s'était réveillé dans une maison qui n'était pas la sienne, dans un lit qui n'était pas le sien, dans une chemise dont l'odeur lui était inconnu mais qui l’enivrait totalement. Elle sursauta en sentant une main dans la sienne, c'était le gars du bar. Il avait prit soin d'elle et elle ne comprenait pourquoi un inconnu l'avait aidé. Ce fut officiellement, leurs première rencontre.

Le temps passait, elle avait dit à Jonah qu'elle faisait une pause dans le boulot et elle vivait chez Eden. Ouais, l'inconnu c'était lui ! Eden, Eden , Eden ! Cette homme là , la rendait tellement heureuse mais elle ne pouvait s'empêcher de vouloir le repousser. Elle lui parlait très peu d'elle, lorsqu'elle savait absolument tout de lui. Ils se chamaillaient mais il lui disait qu'il l'aimait mais elle ne disait rien. Elle en était devenu accrocs mais restait néanmoins détaché, elle l'aimait du moins si ce truc qui la rendait dingue, ce sentiment qui la rendait faible et à la fois si forte était l'amour, alors elle aimait. Il lui apprit tellement de chose, il lui apprit à vivre , à aimer, à sourire, oui ! Il lui avait apprit tout ça et lui avait même débarrasser de sa petite fleur et elle devait bien admette que les filles avaient raison. Faire l'amour, c'était juste le pied ! Il la rendait niaise, il faisait d'elle ce qu'elle n'était plus depuis ses 9 ans, ce qu'elle n'avait véritablement jamais été. Elle se sentait belle et de moins en moins pitoyable.
Un jour elle se connecta sur son adresse e-mail , Jonah et .. Arelia lui avaient envoyé un message. Elle hésita un moment avant d'ouvrir le message de sa mère adoptive qui disait clairement qu'elle n'était pas un monstre, qu'elle était spéciale et qu'elle avait un pouvoir extraordinaire mais... Qu'elle ne les méritaient pas ! Elle était horrible de les avoir abandonné , sans un mot, ni rien. Vivement elle avait refermé le message. Elle se retrouvait au point de départ, avant sa rencontre avec Eden. C'était une gifle monumentale qu'elle se prenait en pleine face, comme un rappel de ce foutu destin et cette promesse. «  Je me promet de ne jamais être heureuse, jamais. », elle l'avait promit et Eden.. la rendait heureuse.
Rageusement , elle ouvrit le message de Jonah à qui elle n'avait pas parler depuis 1 ans et demi , depuis qu'elle vivait avec Eden, quoi. Il lui disait qu'elle pouvait revenir si elle voulait, qu'il y aurait toujours sa place au sein de l'agence. Et notamment que j'étais accepté à Columbia ! C'est sans réfléchir qu'elle répondit : «  Cher Jonah, je suis prête à revenir à la maison – chez toi !- et à retravailler. Cette fois-ci je suis ouverte à tout sorte de client, à bientôt. (Youpiih, Columbia ! Me voilà.) Tchao , ma poule.»
Elle laissa un mot à Eden qu'elle accrocha sur le frigo : «  Eden, je m'en vais pour Columbia. On a passer de bon moment, à un de ces quatre. », Froid, détaché, perfide. Elle en avait mal au cœur .
La bulle était à présent éclaté, la vérité l'avait rattrapé et elle ne pouvait lutté. Elle se l'était promis, elle devait payé pour ce qu'elle avait fait. Et s'arracher de Eden la brisait, lui faire du mal l'achevait . Sans compter qu'elle devait voir la vérité en face, il ne méritait pas une Callgirl qui a tué ses parents, abandonné ses parents adoptif et qui n'est même pas vraiment humaine ! Il méritait plus, beaucoup plus.

Alors elle quitta son appartement avec tout ses affaires pour retourner chez Jonah. Quelques semaine plus tard elle eut un gros client qui lui paya le triple de tout ce qu'elle n'avait jamais eut. En même temps, il avait eut droit à la totale et elle avait put s'acheter un petit appartement et régler le premier semestre de l'université.
L'été est fini, cela fait deux ans qu'elle est arrivé à New York et demain : C'est la rentré. Elle se retrouve plus brisé qu'elle ne l'était et Callgirl la nuit. Elle avait rencontré un homme qu'elle ne pourrait jamais oublié quoi qu'elle fasse, un homme qui l'avait presque guéri ! Bref, demain : C'est la rentré, elle a eut ce qu'elle voulait. Demain, c'est la rentré.




.

Eh bien , ce n'est pas bien compliqué . Alessia a tout perdu dans la vie. A commencé par la possibilité d'être comme les autres à la naissance, ses parents qu'elle a elle-même tué -qu'elle l'est fait exprès ou pas ne semble pas compter pour Charlotte. Et elle n'a plus aucune estime de soit. elle n'a plus confiance dans le monde qui l'entoure. Elle est seule contre tous , c'est ainsi qu'elle le vit.
Charlotte ne met pas fin à ses jour car elle ne sait que très bien que la mort serait un soulagement pour elle et ça , elle ne le méritait pas. Elle ne méritait aucun répits , elle devait payer pour le meurtre de ses parents, elle se l'était promit. La mort n'était pas ce qui faisait le plus souffrir : L'isolation faisait mal, le fait de ne plus connaître le bonheur faisait mais ce qui faisait encore plus mal c'était de se le refuser alors qu'il est à porter de bras. Dire un non catégorique au bonheur et à la joie mais surtout à la personne qui nous apporte tout ça. Se refuser l'amour, se refuser tant de chose à cause d'un monstre qui la ronge depuis l'âge de 9 ans : La culpabilité. Et donc, se plait dans sa souffrance.
Alors oui ! Charlotte Alessia Hanzel-Fritz a sa place dans cette confrérie, elle a tout 'les qualité requises' (a)