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| From some words of Welcome to a strange discovery. │ Charlotte & Nath. | |
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Age : 34 • Etudes / Emplois : Etudiant en Médicine / Danse en Option / Serveur au Starbuck le Weekend. • Avatar : Orlando Bloom ▬ crédits : Sianna ♦ Tumblr
| Sujet: From some words of Welcome to a strange discovery. │ Charlotte & Nath. Dim 29 Jan - 15:45 | |
| La journée s'annonçait longue, et ceci non pas car je m'étais réveillé après une nuit de sommeil raccourcit par mes réflexions, mais plutôt car j'avais énormément d'affaires à mener aujourd'hui. Les nouveau allait arriver au cours de cette semaine, et j'avais un lourd travail à fournir, mon but étant qu'ils se sentent à l'aise à Columbia, dans notre Campus. Les sélections de ma fraternité Sigma Phi Epsilon étaient coupées en deux temps, et la première vague de " frères et soeurs " arrivaient doucement dans notre immense campus, mais également dans notre immense maison. Chacune des fraternités de l'université de Columbia avait leur propre crédo, leur propre règles qu'elles suivaient, bien qu'on en avait tous une commune : passer toute notre scolarité unis entre nous, nous amuser jusqu'au bout de la nuit, et se réveiller alcoolisés. Bien évidemment que chaque étudiant américain pensait à ça, on vivait ici notre rêve, celui de nos parents et de nos grands-parents. D'ailleurs, moi, j'étais une sorte d'exception à la règle, étant donné qu'aucun de parent n'avait étudié ici, nous étions une famille d'immigrés de Brasilia, et cette culture n'avait jamais été la nôtre. Je m'y été pourtant très bien adapté, j'étais désormais le Président de l'une d'elle, et personne d'autre n'était au dessus de moi ici, au sein de la fraternité, mise à part les fondateurs nés il y a plus d'un siècle. J'organisais les évènements, les soirées, les tournois, les meetings, j'aidais les membres à développer un réseau qui les suivra tout le long de leur vie, que ce soit professionnellement ou personnellement. Je rappelais constamment notre devise, gravé sur l'arbre de nos ancêtres. Nous étions comme une secte, sans en être une. Des dangers existaient, et les bizutages laissaient nombres de traces et séquelles sur les jeunes. Je ne pouvais dire le contraire, j'en avais fait les frais. Mais, nous sommes responsables et libres de nos actes disait Rousseau, et il avait sacrément raison. Je fais bien sûr attention à ne pas que ça dégénère, ce n'est pas le but, loin de là... Mais je répète ce dicton très souvent. Dans le petit salon, je venais de faire mon fameux discours devant quelques dizaines de nouveaux arrivants, et je les avais senti assez réceptifs. Leur expliquer que s'il sont là, c'est qu'une chose précise à fait de leur vie un cauchemars durant un temps, ou bien a engendré une fuite, un repli sur soi-même, une haine presque immorale, une rancune envahissante, et que notre but commun serait ici de se reconstruire et de vivre nos années d'études le mieux possible, tel était mon devoir. J'avais capté l'attention d'une demoiselle au second rang, une rousse captivante de par ce contraste frappant entre sa pâleur de peau et cette vive couleur de cheveux... Mais autres choses m'avait interpellé à plusieurs reprises. Je ressentais des ondes de mal-être qui me rendait nauséeux, alors que j'avait appris après toute ces années à contrôler mon don. Là, j'étais mis à mal par cette jeune inconnue qui s'apprêtait à rentrer dans mes rangs. J'avais bien sûr expliqué de façon informelle l'histoire de nos ancêtres, mais également celle de l'Ancêtre de l'Université, notre Doyen a tous, qui sans lui, nous ne serions certainement pas là. Dans le sens où il a construit Columbia, mais aussi dans le sens où c'est le Premier homme à avoir assumé ces dons. J'avais tenté d'être implicite, et certaines personnes avaient souris, ou bien hoché la tête. Les personnes à proprement humaines, sans dons, n'avaient probablement pas compris mon message glissé. Et cette fille semblait ne rien laissait transparaître, alors que je ressentais en elle un don. Même plusieurs. Me tromperais-je donc ? A la fin de cette réunion de Bienvenue, chacune des personnes venaient me voir pour me demander quand la grande réunion officielle d'entrée dans la fraternité débuterait. Cette cérémonie aura bien lieu, mais plus tard, une fois que tout les nouveaux seront installées. Elle sera l'occasion de fournir les rituels secrets de la maison, les salutations qu'on se fera entre nous, les slogans, l'explication du bizutage toléré... Des choses plus concrètes qu'ici ! Je la vis qui restait là, observant le salon, la décoration impressionnante que l'on avait installé, les photos de nos anciens tournois sportifs ou culturels.. J'avança vers elle, mon cahier personnel en main. Etais-je crédible en Président ? On ne m'avait jamais reproché mon rôle ni mon statut, c'est je pense positif non ? Et puis, j'avais cette habitude d'être près des membres, et pour autant très mystérieux. « Alors comme ça on se fait discrète ? Tu sais que tu vas vite apprendre à ne pas l'être ici, en tout cas, pas entre nous ... » Et plus je lui parlais, plus j'étais proche d'elle, et plus mon ventre se crispait, mon crâne s'affaissait ... Heureusement, je cachais les choses, mais c'était douloureux. Trop douloureux pour être acceptable, je devais comprendre.. |
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| Sujet: Re: From some words of Welcome to a strange discovery. │ Charlotte & Nath. Dim 29 Jan - 16:37 | |
| « Cet insupportable gêneur qu'est l'Homme... » « C'est aujourd'hui ? », lui demanda Jonah en lui souriant de son habituel sourire suffisant mais à la fois très chaleureux. La jeune femme se contenta de hocher la tête pour seule réponse , le laissa entrer avant de refermer la porte derrière lui. « Qu'est-ce que tu viens foutre ici, Jon ? », lui demanda-t-elle en continuant de fourrer ses vêtements dans sa valises. « Raanw, garde tes griffes pour ton rencart de d'main soir , ma poule. », elle leva les yeux au ciel. Dieu qu'elle détestait quand il prenait ce ton là avec elle mais elle ne releva pas . Jessica repetait souvent que l'ignorance était le meilleur des mépris, alors elle l'ignora. Elle refermait ses valises après les avoir rempli de ce qui lui paraissait ,releva les yeux vers l'horloge qui affichait à présent quatre heure quarante-deux du matin. Dans quelques heures, elle y sera enfin ! « Tu me déposes toujours tout à l'heure ? », lui demanda-t-elle tandis qu'elle s'allongeait à côté de lui sur son lit. Elle était épuisé mais elle se disait que tout ces efforts en valait la peine. Elle était admise à Columbia, elle allait étudié les Arts,le rêve de ses parents et cela devrait suffir à la rendre heureuse. Si elle se l'autoriserait, elle aurait sauter au plafond.« Pourquoi j'suis là à ton avis ? »,répliqua-t-il en glissant sa main dans celle de la jeune femme. Fronçant les sourcils ,elle se figea ; ce contact lui semblait déplacé et la mettait vachement mal à l'aise . « J'suis fière de toi ,Charlie. »,dit-il après un long moment de silence des plus gênant. Charlotte n'avait jamais apprécier ce genre de moment, ces instants intimes où tout le monde se permettaient de parler à coeur ouvert. Pathétique. « T'es une grande fi.. », Elle soupira longuement avant de lui couper la parole. « Ferme-là , Jon. », répliqua-t-elle tout en manquant d'éclater de rire. Allait-il réellement lui dire qu'elle était une grande fille ,maintenant ? Amusant, mais elle ne ria pas.
« Tu as tout ? T'es sure que tu n'as pas besoin de moi, hein ? », lui demanda à nouveau Jonah tout en sortant ses valises du coffres. Elle lui offrit un sourire, colla un baiser sur sa joue et récupéra sa valise avant de répliquer avec humour. « Encore une fois , non Jon ! Je vais me débrouiller, tu l'as dit toi même. Je suis une grande fille à présent. » Jonah s'était toujours montrer un peu paternel avec elle, alors qu'il n'avait que cinq année de plus qu'elle ! Mais il n'avait jamais sut s'en empêcher, il avait toujours agit comme un grand frère. Il la protégeait, la nourrissait et l'aidait quand elle n'allait pas bien. Il était sa famille, la seule famille qu'elle se permettait d'avoir. Il sourit et l'attira contre elle, elle était surprise , ce geste la touchait mais elle n'en fit rien savoir. Elle ne l'étreint pas en retour, les bras toujours ballant le long de son corps. « Ouais. Tu vas me manquer,ma p'tite. » ,Cela suffisait. Elle soupira et se détacha de lui. Cette scène d'aurevoir lui tapait affreusement sur le système, tout ces étreintes et mots gentils. Elle n'allait pas tarder à dégurgité son petit-déjeuné. Elle s'écarta de lui, attrapa ses valise « Refile mes 'rencards' à Bonnie. T'inquiète pas, je ne vais pas en Alaska, je suis toujours là, d'ac ? Bon, on s'appelle. », il comprendrait donc qu'elle avait besoin d'un moment à elle, besoin de se ressourcer. Depuis qu'elle avait quitter Eden, depuis qu'elle était partit : Elle n'avait pas prit le temps de se reprendre, le temps de ré-apprendre à vivre seule. A être seule, tout seulement.Elle sourit à Jonah, d'un faible sourire qui traduisait invontairement son angoisse d'affronter ce premier jour.Puis elle partit.
Elle était dans le grand salon de la confrérie que Jonah lui avait choisit, elle en revenait pas d'être là ! Sacré Jonah, il aurait réussit à l'emmerder jusqu'au bout. Si elle avait eut le choix, elle aurait netement préféré la cité universitaire que la conférie de dégéré dans lequel elle se trouvait mais elle n'avait pas relever. Elle n'était pas là pour toute ces futulité mais pour l'Art. Elle écoutait le président de la conférie que d'une oreille, son attention était bien trop obnibulé par l'architecture et les fabuleuses déco de cette pièce immence et elle ne put s'empêcher de penser à Eden. Durant tout le discourt du président, elle ne fit que se demander si elle avait réellement bien fait de partir , de l'abandonner . Si elle avait bien fait de sortir de sa vie alors qu'il avait su la rendre heureuse, la faire sourire. Alors qu'il était le seule et le premier à lui avoir fait l'amour. Il lui avait fait découvrir tellement de chose dont l'amour. Elle tapa du pied en reportant son attention sur les tableaux qui tapissaient les longs et grand mur de cette immence salle. Elle se refusait d'y penser, il n'existait plus pour elle. Et puis elle se fichait totalement de sa personne. 'Ouuh la menteuse ,elle est amoureuse.', chantait une petite voix dans sa tête. Elle secoua légèrement la tête afin de se sortir cette chanson puérile de la tête. Rien n'y faisait.
Le discourt terminer, elle continua de se balader dans la pièce tout en se faisant la plus discète possible. Elle ne voulait pas se faire remarquer, peut être que si personne se rappelait de son visage ; Elle pourrait se barrer d'ici sans se faire interpeler ou quoi que soit. Elle pensa à ses bagages près de l'entrée avec tout les autres et se dit qu'il était toujours temps de faire machine arrière mais elle avait travailler bien trop dure pour ça. C'était en hommage à ses parents, c'était pour eux qu'elle le faisait. Son seul et unique bonheur, le seul qu'elle s'autorisait. Elle s'approcha d'un tablau d'IngreS, enfin ce n'était pas son oeuvre originel mais la reproduction était à en couper le souffre. ' Œdipe et le sphinx' , c'était tout simplement parfait. « Alors comme ça on se fait discrète ? Tu sais que tu vas vite apprendre à ne pas l'être ici, en tout cas, pas entre nous ... » Elle sursauta en entendant la voix du Président des enquiquineur. Elle releva les yeux vers lui , feignant l'innocente . « Vous m'avez vu ? Je fais tout sauf discrète avec ça. », dit-elle tout en passant une main dans ses cheveux vénitien : Joignant la parole au geste. Elle fronça les sourcils en sentant quelques chose d'étange émaner de lui mais elle ne comprit pas. Surtout en le voyant très légèrement se cambrer, comme s'il souffrait. Oui, les artistes sont très observateurs et le geste le plus minime n'échappait pas à la jeune femme. Elle allait pour poser sa main sur la sienne mais n'en fit rien, s'il n'allait pas bien. C'était non seulement son problème mais un peu normal. Ici, c'était la maison des torturés : Merci encore Jonah. Alors elle se contenta de se présenter. Elle tendit la main vers lui en souriant d'un sourire polie. « Bonjour, je suis Charlotte Hanzel-Fritz . » L'angoisse de ce matin revenait. Elle était à l'université, enfin.
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| Sujet: Re: From some words of Welcome to a strange discovery. │ Charlotte & Nath. Dim 29 Jan - 17:31 | |
| Who the Hell are you ... Ce discours que je venais de faire commençait à me lasser, dans le sens où je le répétais si souvent. Cela ne signifiait pas que je ne prenais pas tout cela à coeur, bien au contraire, cette confrérie était si importante pour Ana que je lui devais d'être là. Les morts vivent à travers les vivants ... Paroles d'un de professeurs de psychologue et de phisolophie de l'action, à savoir pourquoi on agis, et d'une manière éthique, dans quel sens nous agissons. Et au moment d'évoquer le deuil, la mémoires des oubliés, et le risque de vraiment les oublier, il avait sorti cette phrase, me clouant ainsi un peu plus sur ma chaise. Je lui avait alors offert ma plus grande attention, tout en dévoilant mon mal-être au vue de tous, mes yeux larmoyants. Mon être tout entier vivait pour Elle, pour cette femme qui avait bousculer mon existence tout entière, mon soleil, la raison même de ma venue au monde. Celle qui avait fait me découvrir, alors même que je ne me connaissais pas. Triste d'avouer que je vis à travers u mort, pour un mort, et grâce à un mort. C'est donc la raison de mon mystère, que tout le monde essayait avec énergie de percer.
Cette jeune femme qui en effet ne passait pas inaperçue m'avait troublé au regard de ce qu'elle dégageait. Souffrance ? Culpabilité ? Regret ? Questionnement ? Je ressentais une douleur chaude, comme si je brûlais de l'intérieur, une douleur évaporante qui me laissait pantois. C'était rare les fois où je ne savais plus contrôler mon don Souvent j'absorbais la douleur des autres sans même qu'il ne s'en doute un seul instant, les soulageant ainsi, et me permettant de me dire que je sers à quelque chose, alors même que pour la femme que j'ai tant aimé je n'ai été qu'un incapable inutile. C'est du pur masochisme, j'aime souffrir, je cherche donc la souffrance de mes pairs, et ceux-ci reviennent inconsciemment me voir régulièrement, sachant ce qu'il gagnerait à se rapprocher de moi : la Paix intérieure. Parfois même la paix physique, j'étais ainsi à mes heures libres le médecin des équipes sportives de Columbia. Seuls certains connaissaient mes capacités, mais nous savions garder le secret de notre particularité, jamais un seul humain ne saura qu'ils existent des êtres hors normes. J'étais d'ailleurs ici pour ça entre autres, faire taire nos secrets. J'avais pris la parole, voyant à quel point cette nouvelle était calme, et pour autant absolument pas apaisée intérieurement. A ma phrase d'accroche elle avait répondue très simplement « « Vous m'avez vu ? Je fais tout sauf discrète avec ça. » , ce qui m'avait fait rire, en me questionnant aussi sur le sens de son intervention : était-elle creuse, bête au possible pour dire ça, ou alors était-elle comique et pratiquant la dérision d'une jolie manière ? Voilà, ça c'était tout moi, monsieur l'analyste, j'observais, je cernais , j'analysais, je triais. J'avais grandis ainsi, n'ayant aucune confiance à l'autre mais alors entièrement en mon jugement « Il existe la discrétion naturelle, celle qu'on ne peut cacher aux autres. Et tu as été très discrète, malgré ce feu extérieur. Mais c'est bien, j'apprécie les contrastes et les idées préconçues. » Comme quoi les blondes était conne et les petits étaient gentils. Si je m'étais tenu aux jugements de valeurs, aux stigmats déplacés, j'aurais alors pensé qu'elle était une femme pleine d'assurance qui aimait plaire et se faire remarquer. Et pourtant, elle était bourrée de mimiques qui me faisait comprendre qu'elle était loin d'être sûre d'elle. Alors, était-ce du à ce premier jour ici, et dans ce cas elle se livrera plus tard. Ou bien était-ce ancré en elle. La douleur que je ressentais me faisait dire que c'était quelque chose de bien plus profond...
Étonnamment, j'eus une drôle d'impression. Comme si elle comprenait le combat qui se passait en moi. Nous étions tous suspicieux, tentant de voir qui était des nôtres et qui était normaux, donc ça ne m'étonnais pas plus que ça habituellement. Mais avec elle, tout était différent, je pense que je n'avais pas eu à faire à une telle rencontre depuis un bon moment. Je devrais aller voir ma soeur assez rapidement, en plus, entre rousse, elles auraient peut-être un lien .. Réflexion débile, voilà ce que je pensa rapidement. En espérant qu'elle n'avait pas le don de lire dans les pensées, je serais bon pour passer pour un con, ou alors pour un fou. Elle avait amorcé un geste vers moi, se ravisant ensuite, ce qui me fit froncer les sourcils. Quoi ? Elle voulait faire quoi ? « Bonjour, je suis Charlotte Hanzel-Fritz . ». Je lui tendis également ma main, afin de la saluer formellement, après on se fera la bise, c'était clair. Nous avions l'habitude d'être proches dans cette frat... A la seconde où ma mai toucha la sienne , j'eus un léger mais perceptible mouvement de recul, que je tenta de badigeonner avec un grand sourire qui semblait sincère tout de même. J'avais eu comme un courant électrique de douleur, c'est très étrange, croyez-moi. « Enchanté... Et moi, je me re-présente, puisque tu n's pas écouté tout à l'heure. Nathaël Zephyr Soriano. A nous deux on fait la paire avec nos prénoms atypiques ! Tu ne serais pas allemande par hasard ? J'ai adoré étudié la 2nde Guerre Mondiale, toute cette problématique concernant le peuple, protestant ou resistant d'une idéologie d'un seul homme. Fascinant ... » Et il y avait autre chose de fascinant et d'intriguant : Son aura. |
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| Sujet: Re: From some words of Welcome to a strange discovery. │ Charlotte & Nath. Lun 30 Jan - 14:30 | |
| « Cet insupportable gêneur qu'est l'Homme... » En effet Charlotte était mal à l'aise mais était était surtout très agacée de se retrouver là alors qu'elle pourrait être à la bibliothèque ou en train de se renseigner sur les nombreuses options que proposait cette université. Elle avait soif de connaissance, elle voulait absolument tout apprendre de l'art. Qu'elle soit chanté, dansé, dessiné ,peint ou peut importe ! Elle voulait tout apprendre , c'était son rêve. Et de ce fait, elle était pressé de quitter cet 'joyeuse' fraternité et d'aller découvrir tout ce qu'il lui restait à découvrir. Et c'était donc pour cela qu'elle se montra polie envers le président des enquiquineurs , parce qu'elle voulait s'arracher d'ici mais aussi parce qu'elle ne distribuait jamais de la perfidie gratuite et puis, il fallait bien qu'on se le dise : Le président des enquiquineurs était d'une beauté exceptionnellement sombre. Un brun ténébreux . Chacun de ses train était si fin , sa peau était d'un mate du sud du continent, son regard trahissait mille et une souffrance et son sourire , son sourire était loin d'exprimé la joie de vivre mais montrait qu'un jour, il l'avait ressenti. Et ses cheveux, c'était probablement ce qui le rendait irrésistible, légèrement bouclé sur les bord. Elle aurait adoré l'avoir en tant que modèle, elle aurait aimé peindre de son pinceau le plus légers ses plus fin détails. Chacun des muscle, chaque trais symétriquement parfait de ce visage. Il dansait, ses muscles témoignait pour lui ; Elle n'avait eut de modèle pareille. Bien entendu, elle avait peint et dessiné tant de fois Eden. Son carnet de croquis était presque entièrement composé de son visage, de son corps, de chacun de ses expressions. Celui où il dormait était de loin celui qu'elle préférait, car il avait l'air tellement heureux et paisible. Bref, elle ne devait plus y penser, elle le savait. Mais elle ne pouvait s'en empêcher, sachant ô combien cela lui brisait le coeur : on aurait put penser qu'elle était masochiste. Que lui avait-il prit de dire ça ? Elle allait passer pour une débile pour sure, mais cela ne lui fit ni chaud ni froid, elle s'en contre-fichait de ce qu'il pouvait bien penser d'elle. De ce que le monde entier pouvait penser d'elle. La jeune femme aimait son physique, elle aimait chaque parti de son corps étant donné que c'était son gagne pain. Ses cheveux, ses long cheveux blond vénitiens ; Eden les adoraient. Le rire du président des enquiquineur était attendu, pour l'avoir entendu rire avec elle quelques nuits plus tôt. Ce rire, lui arracha un petit sourire car elle avait en autre réussit à rendre cette conversation beaucoup moins sérieuse et peut être plus courte ? « Il existe la discrétion naturelle, celle qu'on ne peut cacher aux autres. Et tu as été très discrète, malgré ce feu extérieur. Mais c'est bien, j'apprécie les contrastes et les idées préconçues. » , elle fronça légèrement les sourcils, ne voyant pas vraiment où est-ce qu'il voulait en venir. Mais elle ne douta pas sur le fait que lui avait comprit qu'elle se faisait volontairement discrète depuis qu'elle était arriver. « La discrétion est la première des vertus , on lui doit bien des instants de bonheur. »,répliqua-t-elle simplement en citant Dominiue Denon. Le bonheur qu'elle regrettait ici, c'était la tranquillité. Le moment où elle était seule et pouvait librement s'extasier sur les nombreuses œuvres de ce magnifique salon. Non que sa présence soit gênante, elle était même un peu apaisante ; Un peu. Charlotte se plaisait tout bonnement dans le nid de ses pensée qui se situait dans la solitude. Elle ne releva pas de ce qui était des idées préconçues, il n'y avait rien à répondre. Elle trouvait cela stupide, puérile et inutile ; Et puis, elle n'avait jamais vraiment été très bavarde.
Quelques chose d'étrange émanait de lui, elle avait l'impression qu'il lisait en elle, l'impression qu'il savait pertinemment ô combien elle était fausse ! Faible, mise à nue . Impossible, c'était impossible. Il ne la connaissait pas, il ne savait rien d'elle . Inutile de virer parano, c'était elle le monstre : Pas lui. Quand la main du président des enquiquineurs entra en contact avec la sienne, elle fut comme foudroyer par cet élan de douceur apaisante et comprit qu'il devait avoir sentit quelques chose aussi, étant donné sa réaction. Qui était-il ? Elle baissa les yeux sur sa main, fixant la paume de celle-ci : Rien. Puis elle releva les yeux vers lui , lui rendant son sourire mais elle ne put cacher sa perplexité. Lui cacher à quel point il l'intriguait. Encore une fois, qui était-il ? « Enchanté... Et moi, je me re-présente, puisque tu n's pas écouté tout à l'heure. Nathaël Zephyr Soriano. A nous deux on fait la paire avec nos prénoms atypiques ! Tu ne serais pas allemande par hasard ? J'ai adoré étudié la 2nde Guerre Mondiale, toute cette problématique concernant le peuple, protestant ou résistant d'une idéologie d'un seul homme. Fascinant ... » , était-il sérieux ? Lui parlait-il réellement de l'Allemagne Nazi ? Non mais quel imbécile ! C'était triste, oui affreusement triste que le seule chose qui revienne à l'esprit concernant l'Allemagne soit cette période, là. Une période pauvre en art, une dictature, une période sombre de l'histoire ,où la liberté n'existait pas; Et pourtant c'était la période qui avait marquer l'esprit de tous. Personne ne parlait jamais de la culture germanique particulièrement riche. Humaniste, artistique, philosophique , Lettre et Musique. L'Allemagne avait seulement était abusé par un certain homme moustachu, comme disait sa grand-mère . « Ravis de vous rencontré mais encore plus de vous contredire en disant que : J'écoutais ! », que d'une oreille peut être mais elle avait tout de même écouté. Elle jeta un petit regard circulaire, à la recherche d'un petit coin à l'abri des regards mais surtout des oreille où elle pourrait enfin lui demander la raison de cet étrange 'malaise' en sa présence. Elle reposa le regard sur lui, son visage ne traduisait toujours aucune émotions et avec une assurance de peste qu'elle lui répondit. « Oui, je suis allemande. Cet homme ne serait jamais arriver au pouvoir s'il n'y avait pas eut ce fameux Jeudi Noir avec l'effondrement de Wall Street. Cet homme n'avait rien de fascinant, il a juste abusé d'un peuple qui crevait sous la crise. La crise n'étant pas une personne matériel, il leur fallait un bouc émissaire et Hitler n'a fait que leur en donner un. Un profiteur n'a rien de fascinant pour ma part. », Et puis chacun ses opinion. Elle suivait les autres du regard, tous allait récupéré leurs affaires dans la pièce d'à côté alors elle profita de ce moment.
Rapidement, elle prit la main du président des enquiquineurs : Monsieur Soriano, pardon ! Charlotte l'entraina derrière un meuble géant en ébène qui remplissait une fonction d'étagère pour les centaine de trophées que la fraternité avait dût gagner : Impressionnant, tout de même. Une fois derrière le meuble, elle relâcha sa main et plongea ses yeux dans les siens. « Qui es-tu réellement ? T'es pas net et je le sens , je ne saurais l'expliquer mais dit le moi. », la température de la jeune femme grimpait de plus en plus sous sa détermination. Elle voulait savoir, comprendre et s'il ne s'agissait que de ça ! Elle nourrissait l'espoir que lui aussi, qu'elle ne soit pas la seule à elle maudite. Charlie savait que cette pensée était affreusement égoïste mais elle n'y pouvait rien, savoir qu'il était probable qu'elle ne fusse pas seule : C'était indescriptible. - Spoiler:
Désolé, c'est un peu bateau :s
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| Sujet: Re: From some words of Welcome to a strange discovery. │ Charlotte & Nath. | |
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