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Duncan Elliot Wilson

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AuteurMessage
Messages : 1
Date d'inscription : 22/01/2012

Féminin Age : 32
Avatar : Darren Criss
crédits : moutyy


Duncan Elliot Wilson _
MessageSujet: Duncan Elliot Wilson Duncan Elliot Wilson Icon_minitimeDim 22 Jan - 20:16



DUNCAN ELLIOT WILSON

citation


♦ Wilson
♦ Duncan Elliot ♦ Dunc'
♦ 23 ans ♦ 23 mars 1988 à Miami
♦ Américaine ♦ Fait léviter els objet et les personnes; annule les dons des autres
♦ Célibataire ♦ In Life We Trust


Into the wild

On aimerait connaitre mieux ton personnage, son caractère, sa façon de pensée, sa psychologie, sa philosophie de vie. Parle nous de son comportement envers les autres, sans faire dans la dentelle ! On veut mieux cerner ton personnage afin de mieux la comprendre ensuite ! Fais nous ça en une vingtaine de lignes, ne sois pas exhaustif...


Remember me

La vie

« Oh que tu es si mignon Dunc’ », s’écria Jade Wilson à son petit garçon de 2 ans, qui lui avait offert un jolie bouquet de fleurs, tout Droit arraché dans le jardin. Et oui, la plupart des parents auraient hurlé sur leur enfant, mais pas Jade. Elle était si douce avec son fils. Duncan Elliot est né le 23 Mars 1988 dans les quartiers chic de Miami. C’est là qu’il passa le plus claire de son enfance, à courir sur le sable de Miami beach. Il était un petit garçon aux cheveux brun, coupé au bol, toujours habillé d’une chemise et d’un pantalon à pince, et ce jusqu’a ses 15 ans. Il vivait avec sa mère, et son père, John, dans une grande maison près de la mer. Sa mère et son père étaient tout deux des avocats renommés dans toute la ville. Impossible de ne pas connaitre les Wilson. Ils étaient invités dans toutes les réceptions données, et Duncan y fut donc habitué depuis son plus jeune âge. Mais les plus belle choses ont toujours une fin. Et ce fut le cas pour la belle vie dorée du jeune homme.

Le départ

Tandis que, pendant la crise des Subprimes, le cabinet des Wilson marchait du tonnerre, à la maison ce n’était plus la même chose. Duncan avait 20 ans et il allait bientôt rentrée à l’université de Columbia. Ce n’était qu’une question de mois maintenant. Il n’était toujours pas au courant des dons de ses parents, et encore moins qu’il allait en avoir à son tour. Ses parents étaient inquiets à propos de ça, et son père pensait que Jade l’avait trompé avant la naissance du petit, et donc que ce n’était pas son fils. Une crise éclata donc au sein de la belle famille de Miami Le ton montait de plus en plus, et chaque jour, Duncan essayait d’atténuer les tensions. Il ne savait pas la raison de cette dispute, ce disant que ce n’était que passager. Mais les semaines puis les mois passèrent, et rien n’avait changé. Ni dans la vie de Duncan, ni au sein du couple. La rentrée arrivait à grand pas, et il n’était toujours pas parti à New-York. C’est la veille de la rentrée que son père décida de quitter la maison, emportant toutes ses affaires avec lui. Il leur laissa la maison, et le cabinet d’avocat. Il ne voulait plus entendre parler de cette femme qui venait de lui briser le cœur. Avant de partir, il s’approcha de son fils, et lui dit « même si tu n’es pas de moi, je t’ai toujours aimé, et je t’aimerais toujours. Vis ta vie. Un jour tu comprendras pourquoi je suis parti. » Il sourit tristement, puis parti, sans se retourner. Duncan ne savait pas quoi dire, ni quoi faire. Il ressentait de la haine envers son père qui les quittait comme ça, mais aussi vers sa mère. L’avait-elle vraiment trompé ? Qui était son véritable père ?Le poing du jeune garçon s’écrasa dans le mur du salon, faisant sursauté sa mère. La rage commençait à s’emparer de lui. Tout son monde était entrain de sombrer. Jade prit son fils dans ses bras, et se mit à pleurer toute les larmes de son corps. Le jeune homme devint à se moment là, un enfant de 5 ans devant sa maman toute triste. Il se dit à se moment là qu’il ne pouvait pas la laisser comme ça, qu’il fallait qu’il fasse quelque chose. « Il faut qu’on déménage. Rester dans cette maison ne fera qu’empirer ta tristesse m’man ! ». Sa mère secoua sa tête, acquiesçant à la question. Duncan s’occupa de trouver un logement à New-York. Il fallait qu’elle ait un nouveau départ et surtout, il fallait que ce soit loin de Miami. Et puis sa rentrée en première année se faisait le lendemain. Il fallait qu’il s dépêche. Heureusement pour lui, son nom de famille et les contact de ses parents l’aidèrent a trouver un magnifique appartement dans un hôtel particulier de l’Upper East Side, proche de Columbia. Le soir même ils étaient partis.

La rentrée

Duncan entra en première année ce jour là. C’était son premier jour et déjà il s’entendait bien avec une fille. Cette fille s’appelait Juliette Carlson. Elle était belle, intelligente, et chaque moment passer avec elle lui faisait oublier l’Etat de sa mère chez eux. Parce que oui, à défaut de l’avoir remis sur ses pieds, Duncan avait encouragé sa mère, sans le vouloir, à aller voir ailleurs, à profiter de la vie, et surtout, à ramener n’importe qui à la maison. Alors quand il était avec cette fille, il arrivait a croire que sa vie était normale. Ils furent dans la même fraternité pendant toute une année, chez les Kappa Alpha Thêta, et sortir ensemble deux semaines après s’être rencontrer. Ils filaient le parfait amour, jusqu’au moment où tout bascula. Le soir de son 21e anniversaire, alors qu’il allait voir Juliette pour l’inviter à sortir afin de le fêter, il la trouva en bas de ses escaliers, les joues couvertes de larmes. Il se précipita vers elle, et la prit dans ses bras. Elle lui annonça alors la plus belle chose qu’il n’ait entendu. Elle était enceinte. Juliette attendait un enfant de Duncan. Il s’exclama de joie, se disant qu’enfin, il allait être heureux, qu’ils allaient être heureux. Mais quelque fois, ce qu’on pense n’arrive jamais. Neuf mois s’écoulèrent depuis l’annonce, et il en avait parlé à sa mère qui, heureusement, s’était calmer dans les sorties. Elle était devenu plus raisonnable, et Duncan en était soulager. Il avait essayé d’appeler son père pour lui annoncer la bonne nouvelle, mais rien. Pas une seule réponse. Du coter de Juliette, son père l’avait mise à la porte en apprenant sa grossesse. Elle vivait à présent à la fois chez Duncan, et a la fois chez les Kappa Alpha Thêta.

On dit toujours que lorsqu’un bébé né, un homme meurt.

Le 4 juillet arriva enfin le jour tant attendu. La petite Meredith vit enfin le jour au grand espoir de sa mère essouffler par l’accouchement, et au bonheur de son père qui pleurait devant tant de beauté. Mais la douleur ne tarda pas à arriver. Alors qu’ils se promenèrent tout les deux dans une ruelle déserte, ayant laissé leur fille chez la mère de Duncan, ce dernier ressenti une forte douleur dans son crane, comme un martellement incessant. Puis se fut le tour à son cœur de se tortiller à l’intérieur de son torse. Il tomba au sol d’un coup, se tortillant de douleur devant une Juliette paniqué. Il avait l’impression que ses mains étaient en feu, alors que pas du tout. Tout son corps lui faisait mal. Juliette s’était d’abord rapprocher de son chéri, lui posant quelque question que la panique déformait quelque peu, mais fini par se reculer contre un mur lorsqu’elle entre aperçut dans le regard de son aimé un éclaire zébrer son œil. Duncan hurlait de douleur, priant pour qu’on l’aide à aller mieux. Mais personne ne fit rien. D’un coup, tous les objets autours d’eux se mirent à voler, se fracassant d’un mur à l’autre. Juliette était tétanisé, tandis que le jeune homme commençait à voir la douleur partir, petit à petit. Et d’un coup, plus rien. Comme si cette douleur n’avait été que fantôme. Il ouvrit les yeux, et regarda autour de lui à la recherche de sa copine. Cette dernière le regardait avec des yeux exorbités. Elle avait peur de lui. Elle ne savait pas qui été cette homme. Alors elle recula, tandis que Duncan s’avança pour lui demander si ça allait. Il voyait un peu flou, comme lorsqu’on ferme trop longtemps ses yeux, mais il arrivait tout de même à déterminer où se trouver sa copine. Cette dernière recula, encore, et encore, de plus en plus vite, jusqu’à se retrouver sur la route. C’est à ce moment là que ça vue décider à redevenir claire. Le jeune garçon n’eut alors le temps que d’hurler son prénom, qu’elle se fit littéralement faucher par une voiture en excès de vitesse. Duncan se stoppa, son cœur aussi, pendant quelques secondes, juste le temps que l’information remonte à son cerveau. Et là il courut jusqu’à la voiture, criant, hurlant pour qu’on appel les pompiers. Elle ne pouvait pas le laisser, elle ne pouvait pas laisser sa fille qui venait à peine de naître. Il s’agenouilla près du corps de Juliette et pleura. Il n’arriver pas à croire ce qui était entrain de se passer. Il lui fit un massage cardiaque, appuyant de toutes ses forces pour la faire respirer. Mais rien. Rien ne changeait. Les ambulanciers commencèrent à arriver, mais il était trop tard. Beaucoup trop tard. Alors il la prit délicatement dans ses bras, la serra contre sa poitrine, et se mit à pleurer, silencieusement. Des larmes de rages coulaient. Il venait de perdre la femme qu’il aimait le plus au monde. Comment vivre lorsque la personne que l’on aime nous quitte à jamais ?

Renouveau ?

Deux ans après la mort de la mère de son enfant, Duncan recommençait à vivre, petit à petit. Il n’arrivait pas à l’oublier. Le visage de sa petite Meredith lui faisait rappeler combien sa chérie était belle, somptueuse, et comment elle était morte, cruellement. Tous les jours depuis ce fameux jour, il déposait des roses blanches sur sa tombe, sa fille dans les bras. Ils étaient devenue inséparable, et quelque fois, il ramenait Meredith, 2 ans à peine, sur le campus, la laissant courir dans le parc, au jouer dans le jardin de la fraternité. Elle était devenue assez populaire, et tout le monde à Columbia la connaissait. Mais elle vivait principalement chez sa grand-mère paternelle, Duncan ne pouvant pas trop la mêler à la vie étudiante qu’il menait. Il avait changé de fraternité, ne pouvant pas rester un fêtard. Il a rejoint les Phi Delta Thêta, et devint alors leur président, six mois à peine après être arrivé. Sa fille le faisait aller mieux, vivre au jour le jour et surtout, le faisait devenir moins mélancolique et triste qu’il ne l’était auparavant. Elle était son remède à son mal être, et il lui en était vraiment reconnaissant.

Lost in Translation

Pourquoi as-tu choisis cette confrérie, ce groupe ? Pourquoi celle-ci et pas une autre ? Dis nous ça rapidement, on t'écoute toujours !



It's my life

Ton nom : réponse Ton âge : réponse Tu habites où ? réponse Tu fais quoi dans la vie ? réponse Ta fréquence de connexion ? /7 Où as-tu connu le forum ? Réponse Des suggestions ? : tes crédits : ici chamallow/ Le code du réglement :
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